Une grosse surprise pour moi! Pita, je les regardais d'un oeil distrait sur les forums espagnols...
J'avais bien tort.
Je suis face à du bricolage de génie, de la créativité à la tonne, l'anti-marque Suisse qui roupille!
NB: Les photos aussi tiennent du bricolage, pas de lumière à belles montres, sur le stand Pita, c'était la catastrophe.
Je commence par une montre que je voulais voir en vrai depuis quelques temps, l'Océana 5000mètre.
Avec la non industrie horlogère Espagnol, Pita est tranquille, ils peuvent squatter tous les noms "institutionnels" qu'ils souhaite, pas de concurrence pour revendiquer le nom.
Donc l'Océana, avec cette montre Pita repense la couronne dans une montre, comme sur les autres piéces, la couronne se trouve être le fond de boite, exit la couronne à 3h.
Cette manière d'avoir repensé la couronne de manière générale, est assez unique, même avec le passage à 3heures avec l'arrivée de la montre bracelet, on ne peux pas dire qu'une réflexion sur son intégration et sa position fut faite, étonnant de constater que c'est un non-horloger (M. Jimenez Pita est autodidacte) Espagnol complétement hors du sérail qui y ai pensé!
Donc l'Océana, c'est un mac Barthez, avec 4 steak bien gras, pour ceux qui aiment les ovnis peu portables.
Mais il parait qu'il y à des clients pour la SDDS...
Puis il faut bien constater que la Pita elle est étanche à 5000m (testés 6100), contre 3900 chez Rolex avec son armée d'ingénieurs.
De surcroit sans rentrer de trop dans la polémique, M. Jimenez revendique la paternité d'une partie des technologies employés dans la SDDS.
La montre techniquement est très particulière, elle est contruite sans joints, et possède une double boite, la montres est dans une deuxième boite, le verre de 9mm est prévue pour se déformer avec la pression.
Elle existe aussi, dans sa première déclinaison, en fait, en version 2000m, bien plus portable!
On voit bien la différence d'épaisseur, j'ais demandé pourquoi il n'as pas fait de boitier plus grand, pour préserver une certaine harmonie des proportions, mais en fait ile me répondit que ce n'était pas possible, car celà aurait augmenté considérablement la pression par centimètre carré.
Ensuite la SunMoon, ma préféré, une grande réussite esthétique, elle reprend bien les codes esthétiques des arts plastiques espagnol, tant la gravure du dial, quel la peinture email du guichet, sont vraiment superbe, l'heure se lit en fait dans les coins (4h30 et 7h30) du guichet, la minutes saute, le tout est magnifique, elle coute dans les 18000€.
En vidéo:
Ensuite la Carousel, une mono aiguille, avec un mouvement retourné, le truc au milieu est en fait le rotor, une belle ésthétique.
Et enfin, une autre pièce vraiment exclusive (5exemplaires), et vraiment originale, les aiguilles ont été remplacés par des roue flottantes, les point de couleurs servent à indiquer l'heure, il est par exemple ici, 9h46.
J'adore.
J'ai vraiment été surpris par cette marque, par l'enthousiasme de son créateur, c'est un vrai laboratoire d'idée, fait dans un garage, il souffle sur ces pièces l'esprit bricolo et génial des Panerai vintage...
Quel leçon pour nos manufactures Suisses, dormantes sur leur histoire horlogère!
Une montre de fabrication nationale que n'aurait pas renié Torrente!
J'avais bien tort.
Je suis face à du bricolage de génie, de la créativité à la tonne, l'anti-marque Suisse qui roupille!
NB: Les photos aussi tiennent du bricolage, pas de lumière à belles montres, sur le stand Pita, c'était la catastrophe.
Je commence par une montre que je voulais voir en vrai depuis quelques temps, l'Océana 5000mètre.
Avec la non industrie horlogère Espagnol, Pita est tranquille, ils peuvent squatter tous les noms "institutionnels" qu'ils souhaite, pas de concurrence pour revendiquer le nom.
Donc l'Océana, avec cette montre Pita repense la couronne dans une montre, comme sur les autres piéces, la couronne se trouve être le fond de boite, exit la couronne à 3h.
Cette manière d'avoir repensé la couronne de manière générale, est assez unique, même avec le passage à 3heures avec l'arrivée de la montre bracelet, on ne peux pas dire qu'une réflexion sur son intégration et sa position fut faite, étonnant de constater que c'est un non-horloger (M. Jimenez Pita est autodidacte) Espagnol complétement hors du sérail qui y ai pensé!
Donc l'Océana, c'est un mac Barthez, avec 4 steak bien gras, pour ceux qui aiment les ovnis peu portables.
Mais il parait qu'il y à des clients pour la SDDS...
Puis il faut bien constater que la Pita elle est étanche à 5000m (testés 6100), contre 3900 chez Rolex avec son armée d'ingénieurs.
De surcroit sans rentrer de trop dans la polémique, M. Jimenez revendique la paternité d'une partie des technologies employés dans la SDDS.
La montre techniquement est très particulière, elle est contruite sans joints, et possède une double boite, la montres est dans une deuxième boite, le verre de 9mm est prévue pour se déformer avec la pression.
Elle existe aussi, dans sa première déclinaison, en fait, en version 2000m, bien plus portable!
On voit bien la différence d'épaisseur, j'ais demandé pourquoi il n'as pas fait de boitier plus grand, pour préserver une certaine harmonie des proportions, mais en fait ile me répondit que ce n'était pas possible, car celà aurait augmenté considérablement la pression par centimètre carré.
Ensuite la SunMoon, ma préféré, une grande réussite esthétique, elle reprend bien les codes esthétiques des arts plastiques espagnol, tant la gravure du dial, quel la peinture email du guichet, sont vraiment superbe, l'heure se lit en fait dans les coins (4h30 et 7h30) du guichet, la minutes saute, le tout est magnifique, elle coute dans les 18000€.
En vidéo:
Ensuite la Carousel, une mono aiguille, avec un mouvement retourné, le truc au milieu est en fait le rotor, une belle ésthétique.
Et enfin, une autre pièce vraiment exclusive (5exemplaires), et vraiment originale, les aiguilles ont été remplacés par des roue flottantes, les point de couleurs servent à indiquer l'heure, il est par exemple ici, 9h46.
J'adore.
J'ai vraiment été surpris par cette marque, par l'enthousiasme de son créateur, c'est un vrai laboratoire d'idée, fait dans un garage, il souffle sur ces pièces l'esprit bricolo et génial des Panerai vintage...
Quel leçon pour nos manufactures Suisses, dormantes sur leur histoire horlogère!
Une montre de fabrication nationale que n'aurait pas renié Torrente!