Type XX, Type XXI...
Dodane, Chronofixe, Airain mais aussi Vixa, Auricoste et bien entendu Breguet, voici un axe de collection intéressant !
Dans les années 50 et 60, ces montres étaient destinées aux pilotes de l’aéronavale, de l’armée de l’air et du Centre d’Essai en Vol.
Le Ministère de la Défense a alors imposé un cahier des charges rigoureux pour des chronographes utilisés au sein de l’armée. Les exigences des différents commanditaires, en particulier la marine et les armées de l’air, ont obligé les maîtres horlogers à aller toujours plus loin dans la précision, dans la fiabilité, ainsi que dans la complication.
Il était notamment imposé techniquement que ces chronographes disposent de la fonction flyback (retour en vol, c’est-à-dire la possibilité de mettre à zéro et de faire ensuite immédiatement repartir la fonction chronographique).
Autres particularités à tous les modèles, un boîtier de 38mm, un cadran noir avec index et aiguilles luminescentes, un mouvement mécanique à remontage automatique disposant d’une réserve de marche supérieure à 35 heures, une précision relative de + ou – 8 secondes par jour et enfin, la capacité de supporter plus de 300 fois lors des périodes de test la marche, l’arrêt et la remise à zéro du chronographe...
De son coté, à partir des années 50, Dodane (manufacture qui voit le jour en 1857) a produit plus de 5000 montres de type 20 et type 21 sous différentes marques : Dodane bien évidemment, mais aussi sous les noms d'Airain et Chronofixe surtout pour les versions civiles.
La type 21 correspond à des spécifications techniques plus évoluées (décrites en 1956).
Elles embarquent pour la plupart des Valjoux 22(2) ou 23(1).
Les deux miennes :
Dodane, Chronofixe, Airain mais aussi Vixa, Auricoste et bien entendu Breguet, voici un axe de collection intéressant !
Dans les années 50 et 60, ces montres étaient destinées aux pilotes de l’aéronavale, de l’armée de l’air et du Centre d’Essai en Vol.
Le Ministère de la Défense a alors imposé un cahier des charges rigoureux pour des chronographes utilisés au sein de l’armée. Les exigences des différents commanditaires, en particulier la marine et les armées de l’air, ont obligé les maîtres horlogers à aller toujours plus loin dans la précision, dans la fiabilité, ainsi que dans la complication.
Il était notamment imposé techniquement que ces chronographes disposent de la fonction flyback (retour en vol, c’est-à-dire la possibilité de mettre à zéro et de faire ensuite immédiatement repartir la fonction chronographique).
Autres particularités à tous les modèles, un boîtier de 38mm, un cadran noir avec index et aiguilles luminescentes, un mouvement mécanique à remontage automatique disposant d’une réserve de marche supérieure à 35 heures, une précision relative de + ou – 8 secondes par jour et enfin, la capacité de supporter plus de 300 fois lors des périodes de test la marche, l’arrêt et la remise à zéro du chronographe...
De son coté, à partir des années 50, Dodane (manufacture qui voit le jour en 1857) a produit plus de 5000 montres de type 20 et type 21 sous différentes marques : Dodane bien évidemment, mais aussi sous les noms d'Airain et Chronofixe surtout pour les versions civiles.
La type 21 correspond à des spécifications techniques plus évoluées (décrites en 1956).
Elles embarquent pour la plupart des Valjoux 22(2) ou 23(1).
Les deux miennes :