Encore un OVNI découvert chez les Belges de Hall of Time.
Pour faire simple, quand je suis arrivé chez Emmanuel, j'ai fait le tour des vitrine et je n'ai sélectionné que du lourd, du très lourd.
Cette Turbodiver de Dubuis n'est pas une nouveauté mais elle mérite le coup d'œil et surtout l'essai.
46 mm de Titane, une boîte bien massive pour une proposition de "montre de plongée" la plus décalée possible.
On peut ne pas aimer la proposition esthétique de RD mais force est de reconnaître la grande qualité du travail du mouvement.
Ici, tout n'est que vide. Les 3 groupes du mouvement sont vraiment suspendus dans la boîte. D'un côté le tourbillon, de l'autre le barillet et à côté de la couronne, le système de remontage.
La boîte est très travaillée, les cornes comportent des parties en carbone et comme on le voit sur la photo ci-dessous, la lunette comporte des inserts en caoutchouc.
Le squelettage est très moderne. La platine ajourée reçoit un traitement PVD et un bouchonnage très fin, le rendu est très moderne.
Dernier délire, les index sont en rubis, on va décidément au bout des choses chez RD.
Pour finir, je garde un bon souvenir de cette "superlative" plongeuse.
On peut tout lui reprocher, son prix (un peu moins de 100 K), sa taille, son calibre manuel, sa lisibilité médiocre mais il faut bien un peu de folie dans ce monde en crise !
Pas un engin qu'on croise à tous les coins de rue !
Merci à la maison Hall of Time pour cet essai.
Pour faire simple, quand je suis arrivé chez Emmanuel, j'ai fait le tour des vitrine et je n'ai sélectionné que du lourd, du très lourd.
Cette Turbodiver de Dubuis n'est pas une nouveauté mais elle mérite le coup d'œil et surtout l'essai.
46 mm de Titane, une boîte bien massive pour une proposition de "montre de plongée" la plus décalée possible.
On peut ne pas aimer la proposition esthétique de RD mais force est de reconnaître la grande qualité du travail du mouvement.
Ici, tout n'est que vide. Les 3 groupes du mouvement sont vraiment suspendus dans la boîte. D'un côté le tourbillon, de l'autre le barillet et à côté de la couronne, le système de remontage.
La boîte est très travaillée, les cornes comportent des parties en carbone et comme on le voit sur la photo ci-dessous, la lunette comporte des inserts en caoutchouc.
Le squelettage est très moderne. La platine ajourée reçoit un traitement PVD et un bouchonnage très fin, le rendu est très moderne.
Dernier délire, les index sont en rubis, on va décidément au bout des choses chez RD.
Pour finir, je garde un bon souvenir de cette "superlative" plongeuse.
On peut tout lui reprocher, son prix (un peu moins de 100 K), sa taille, son calibre manuel, sa lisibilité médiocre mais il faut bien un peu de folie dans ce monde en crise !
Pas un engin qu'on croise à tous les coins de rue !
Merci à la maison Hall of Time pour cet essai.