On peut voir sur les bars horlogers des paires et des triplettes.
Des JLC, des plongeuses, des Fifty, des Panerai assorties, des soeurs jumelles Rolex.
La paire de montres noires qui n'ont aucun lien logique mais qui matchent visuellement ?
Et peu probable de réunir de surcroit.
Alors, je m'y risque.
Déjà brièvement évoqué, la ligne de tendance de mes quelques montres est devenue au fil du temps les cadrans noirs assortis de lunettes noires, parfois verte, ou délavée.
J'attendais d'aller chercher la Zenith Cairelli au coffre pour juger de l'effet.
Elles sont tout à fait assorties, et tellement opposées.
La Cairelli est dédiée à l'aviation, la NS à la Navy (le nom ou l'utilisation?).
Chrono pour l'une, heure et date sans plus pour la JLC.
Calibre du chrono : le 146, mouvement simple et robuste, à remontage manuel mais avec quand même le spiral anti-magnétique (146DP), et pour la Master Compressor NS, le calibre 899 (je n'ai pas ouvert pour l'admirer).
Cadran : bien lisible sur le NS , mais la Cairelli donne une impression d'ouverture plus importante du fait de sa lunette plus mince...
Les index en relief et bien luminescents, variant du vert au bleu selon l'exposition, contre seulement les aiguilles luminescentes (de remplacement) de la Cairelli.
La lunette céramique grise de la NS évoque l'aspect délavé chères aux Submariner, mais le comparatif n'est malheureusement pas possible : la Cairelli est équipée d'une lunette bakélite de substitution (l'originale en alu n'a toujours pas été trouvée 4 ans plus tard)..
La taille ? 42Mm chacune, boitier plus épais pour la NS, mais en titane. 22mm à l'entre-corne ce qui rend les bracelets interchangeables.
La couronne de la JLC est à mon sens l'élément qui lui nuit esthétiquement.
Trop fine pour l'épaisseur du boitier vue de face, et dotée de cet étrange papillon d'étanchéité assez discutable quand la couronne Zenith est un modèle de discrétion (pas étanche bien entendu).
Confort ? Parfait pour les deux.
Enfin, pour marquer la différence, la JLC a moins d'un an, la Zenith plus de 40 ans et est une A.M.I.
Ce qui l'a encore plus vieillie, l'état du cadran et le numéro de matricule en attestant.
Série limitée à 1500 exemplaires (numérotés), et 5000 Cairelli, dont moins d'un millier ont été en dotation.
Photo de cadrans noirs, avec en référence la taille de vigueur en 1942..
Des JLC, des plongeuses, des Fifty, des Panerai assorties, des soeurs jumelles Rolex.
La paire de montres noires qui n'ont aucun lien logique mais qui matchent visuellement ?
Et peu probable de réunir de surcroit.
Alors, je m'y risque.
Déjà brièvement évoqué, la ligne de tendance de mes quelques montres est devenue au fil du temps les cadrans noirs assortis de lunettes noires, parfois verte, ou délavée.
J'attendais d'aller chercher la Zenith Cairelli au coffre pour juger de l'effet.
Elles sont tout à fait assorties, et tellement opposées.
La Cairelli est dédiée à l'aviation, la NS à la Navy (le nom ou l'utilisation?).
Chrono pour l'une, heure et date sans plus pour la JLC.
Calibre du chrono : le 146, mouvement simple et robuste, à remontage manuel mais avec quand même le spiral anti-magnétique (146DP), et pour la Master Compressor NS, le calibre 899 (je n'ai pas ouvert pour l'admirer).
Cadran : bien lisible sur le NS , mais la Cairelli donne une impression d'ouverture plus importante du fait de sa lunette plus mince...
Les index en relief et bien luminescents, variant du vert au bleu selon l'exposition, contre seulement les aiguilles luminescentes (de remplacement) de la Cairelli.
La lunette céramique grise de la NS évoque l'aspect délavé chères aux Submariner, mais le comparatif n'est malheureusement pas possible : la Cairelli est équipée d'une lunette bakélite de substitution (l'originale en alu n'a toujours pas été trouvée 4 ans plus tard)..
La taille ? 42Mm chacune, boitier plus épais pour la NS, mais en titane. 22mm à l'entre-corne ce qui rend les bracelets interchangeables.
La couronne de la JLC est à mon sens l'élément qui lui nuit esthétiquement.
Trop fine pour l'épaisseur du boitier vue de face, et dotée de cet étrange papillon d'étanchéité assez discutable quand la couronne Zenith est un modèle de discrétion (pas étanche bien entendu).
Confort ? Parfait pour les deux.
Enfin, pour marquer la différence, la JLC a moins d'un an, la Zenith plus de 40 ans et est une A.M.I.
Ce qui l'a encore plus vieillie, l'état du cadran et le numéro de matricule en attestant.
Série limitée à 1500 exemplaires (numérotés), et 5000 Cairelli, dont moins d'un millier ont été en dotation.
Photo de cadrans noirs, avec en référence la taille de vigueur en 1942..