J'ai été reçu, à plusieurs reprises chez JlC, durant le SIHH, en ayant à peine pris Rendez-vous.
Encore beaucoup de nouveautés, la présentation n'est pas exhaustive, loin s'en faut, mais je crois avoir pris en photo les pièces les plus intérréssantes...
Tout d'abord, une surprise, une master compressor convaincante.
Je n'ais jamais été jusqu'à présent, convaincus par cette série... Là je suis très agréablement surpris.
Le cadran est en fibres de verres... Le réhaut plus petit rend la montre plus sympathique.
La version en or est également assez séduisante:
Un autre réhabillage, la squadra, la qualité augmente sensiblement, même si on peu s'interroger sur le bon gout des inserts en caoutchoux...
Une vrai grosse (46mm) nouveauté, l'Extrème Lab 2.
On revient sur l'absence de lubrification, la montre est lubrifié normalement.
La nouveauté se situe sur 2 choses, la couronne ne se tire pas, on appuie sur un bouton central, qui arme divers positions sur l'indicateur avec le pont doré à 3heures...
Spirale en silicium pour la version titane, 40000€, donc présumé amagnétique, la version or 49000€, n'en bénéficie pas.
C'est le même système que l'on as déjà vu chez AP et RM, cela dit, cette montre coute néanmoins 5 fois moins cher...
L'autre nouveauté techniquement, c'est l'affichage par guichet des heures.
Enfin sur le plan esthétique, la lunette est en céramique meulé et le caseback asymétrique.
Finalement on est sur un produit, qui à tous point de vue me fait penser à une Mimilles, mais avec un design de boitier qui me séduit plus, nonobstant un compteur de second fuseau horaire (à 9h), mal intégrée.
La montre est vraiment agréable à porter avec un esthétique vraiment efficace, mais là ou le bat blesse, c'est sur le coté LAB.
On déjà vu les innovations sur d'autres pièces, et tant le système de couronne que l'affichage, ne sont pas des réelles nouveautés. La montre en terme d'innovation est clairement en dessous de l'extrème LAB 1.
Ensuite, la montre que j'attendais le plus. Je n'est pas été déçu.
C'est le Duomètre à quantième lunaire.
Le premier barillet sert à faire tourner le balancier, et est dévolue à cette tache.
D'ailleurs je trouve la communication à ce sujet assez naze, ils parlent de système de force constante, alors qu'on est simplement devant un système d'énergie qui n'est pas perturbé par les aiguille, mais aucunement un système de force constante.
Le deuxième, fait tourner tout le reste, le quantième lunaire, les aiguilles, dont la foudroyante, qui est impossible à arréter sauf quand on tire la couronne, ou cette fois-ci un système de remise à zéro existe.
Le bouton à 10 sert au changement rapide de date, indiqué par l'aiguille bleue, dommage d'ailleurs, que la foudroyante ne soit pas bleu, histoire de souligner son mouvement, car cette aiguille bleu du jour toute seule, cela parait un peu con.
J'aime assez les ouvertures et le traitement des RdM, cette partie à été mise en place pour différencier du duomètre à chronographe, mais contrairement aux Amvox, ou j'ai l'impression que la série se perd, là, le résultat est bien plus probant, on à vraiment le sentiment d'avoir un nouveau Duomètre et pas seulement un déclinaison opportuniste.
Un point à propos des finitions du cadran, il existe, comme le Duomêtre chrono en version cadran lisse pour l'or jaune et cadran grainé pour l'or rose.
La montre est vendue 24500€, ce qui constitue un bon prix d'attaque, il est heureux que JlC reste bon marché sur ces piéces.
Bref, la montre m'as beaucoup plus, finalement le Duomètre calibre .380 donc le chrono restera supérieur à celui-ci donc calibre .381, pour une seule raison, on peux arrêter la foudroyante sur le chrono et pas sur la phase de lune, ça me fait le même effet qu'une très belle femme (comme celle plus bas), qu'on ne pourrait empécher de parler...
La foudroyante en action:
Pour rester dans le Duomètre, la nouvelle couleur de cadran pour la version chrono, en noir, réussit, pas comme ma photo, je reste néanmoins sur la version cadran grainé, celui-ci est lisse, un peu trop peut-être...
L'habillage me fait un peu penser à certain GSM haut de gamme.
Pour rester dans les cadrans noirs, je trouve celui de la memovox worldtime beaucoup plus réussit, je sais que cette montre plaira à certains amateurs frustrés de ne plus trouver ce type de piéces classique chez JlC, la montre à beaucoup de charme:
La grosse nouveauté, la grosse tuerie, c'est évidement la nouvelle grande complication.
J'ai été bluffé par cette piéce à nombre d'égards, tourbillon volant, en sens anti horaire sur 23h56, durée réelle d'une journée, carte du ciel, quantiéme annuel et répétition minute.
Tour de force de faire tenir autant de complications dans une montre à l'épaisseur relativement contenue, autour de 16mm pour 44, mais la montre parait plus petite.
Le "badge" sonnerie que l'on voie sur le saphir est en fait le timbre, qui vient résonner directement sur le saphir, la montre est en or blanc.
C'est une montre qu'Anne m'as prété pendant une demi heure, j'ai eu le temps de jouer un peu avec, d'être fasciné par le tourbillon, quand elle auras un cadran digne de ce nom (aller au hasard titane bleui, comme chez De Béthune), elle sera éminemment onirique avec sont fascinant tourbillon volant, JlC bénéficie d'ailleurs d'une belle expertise sur cette complication, leurs tourbillons sont toujours très visuels.
C'est un proto, donc à priori tant la finition du cadran que du réhaut, ne sont pas définitives, je le souhaite, le cadran est sympa, mais ne rend pas grace à la carte du ciel, et le réhaut avec le QA est violemment cheap.
Sonnerie:
La piéce n'est pas vraiment une nouveauté, mais elle reflète tellement bien le savoir faire de JlC, c'est une Atmos fascinante, le genre de piéce qui vous fait regretter de ne pas avoir joué à Euromillions:
Le système se remonte en fermant la boite:
Francis, un des concepteur de pas mal de piéces:
Modérateur est un calvaire:
Regardez le truc de fou qu'elle portait, j'ai oublié de prendre une photo, j'étais troublé un pavage de brillant, pavage intégral, magnifique:
Anne qui m'as reçu pour mon troisième passage:
Le mouvement du Gyro, pour la route.
Encore une fois, je suis stupéfait par mon passage chez JlC, le rytme des sorties ne baisse pas, tout n'est pas heureux, mais les innovations et les grandes complications pleuvent, quand certains ont du mal à augmenter de 2mm la taille du boitier!
3 heures là bas, n'ont pas suffit à faire le tour des nouveautés, l'acceuil de Lucie et Anne fut vraiment adorable, bref, que du bonheur. Le tout presque sans rendez-vous.
Gros regret, je n'ais pas le numéro de femme en photo avec moi.
Encore beaucoup de nouveautés, la présentation n'est pas exhaustive, loin s'en faut, mais je crois avoir pris en photo les pièces les plus intérréssantes...
Tout d'abord, une surprise, une master compressor convaincante.
Je n'ais jamais été jusqu'à présent, convaincus par cette série... Là je suis très agréablement surpris.
Le cadran est en fibres de verres... Le réhaut plus petit rend la montre plus sympathique.
La version en or est également assez séduisante:
Un autre réhabillage, la squadra, la qualité augmente sensiblement, même si on peu s'interroger sur le bon gout des inserts en caoutchoux...
Une vrai grosse (46mm) nouveauté, l'Extrème Lab 2.
On revient sur l'absence de lubrification, la montre est lubrifié normalement.
La nouveauté se situe sur 2 choses, la couronne ne se tire pas, on appuie sur un bouton central, qui arme divers positions sur l'indicateur avec le pont doré à 3heures...
Spirale en silicium pour la version titane, 40000€, donc présumé amagnétique, la version or 49000€, n'en bénéficie pas.
C'est le même système que l'on as déjà vu chez AP et RM, cela dit, cette montre coute néanmoins 5 fois moins cher...
L'autre nouveauté techniquement, c'est l'affichage par guichet des heures.
Enfin sur le plan esthétique, la lunette est en céramique meulé et le caseback asymétrique.
Finalement on est sur un produit, qui à tous point de vue me fait penser à une Mimilles, mais avec un design de boitier qui me séduit plus, nonobstant un compteur de second fuseau horaire (à 9h), mal intégrée.
La montre est vraiment agréable à porter avec un esthétique vraiment efficace, mais là ou le bat blesse, c'est sur le coté LAB.
On déjà vu les innovations sur d'autres pièces, et tant le système de couronne que l'affichage, ne sont pas des réelles nouveautés. La montre en terme d'innovation est clairement en dessous de l'extrème LAB 1.
Ensuite, la montre que j'attendais le plus. Je n'est pas été déçu.
C'est le Duomètre à quantième lunaire.
Le premier barillet sert à faire tourner le balancier, et est dévolue à cette tache.
D'ailleurs je trouve la communication à ce sujet assez naze, ils parlent de système de force constante, alors qu'on est simplement devant un système d'énergie qui n'est pas perturbé par les aiguille, mais aucunement un système de force constante.
Le deuxième, fait tourner tout le reste, le quantième lunaire, les aiguilles, dont la foudroyante, qui est impossible à arréter sauf quand on tire la couronne, ou cette fois-ci un système de remise à zéro existe.
Le bouton à 10 sert au changement rapide de date, indiqué par l'aiguille bleue, dommage d'ailleurs, que la foudroyante ne soit pas bleu, histoire de souligner son mouvement, car cette aiguille bleu du jour toute seule, cela parait un peu con.
J'aime assez les ouvertures et le traitement des RdM, cette partie à été mise en place pour différencier du duomètre à chronographe, mais contrairement aux Amvox, ou j'ai l'impression que la série se perd, là, le résultat est bien plus probant, on à vraiment le sentiment d'avoir un nouveau Duomètre et pas seulement un déclinaison opportuniste.
Un point à propos des finitions du cadran, il existe, comme le Duomêtre chrono en version cadran lisse pour l'or jaune et cadran grainé pour l'or rose.
La montre est vendue 24500€, ce qui constitue un bon prix d'attaque, il est heureux que JlC reste bon marché sur ces piéces.
Bref, la montre m'as beaucoup plus, finalement le Duomètre calibre .380 donc le chrono restera supérieur à celui-ci donc calibre .381, pour une seule raison, on peux arrêter la foudroyante sur le chrono et pas sur la phase de lune, ça me fait le même effet qu'une très belle femme (comme celle plus bas), qu'on ne pourrait empécher de parler...
La foudroyante en action:
Pour rester dans le Duomètre, la nouvelle couleur de cadran pour la version chrono, en noir, réussit, pas comme ma photo, je reste néanmoins sur la version cadran grainé, celui-ci est lisse, un peu trop peut-être...
L'habillage me fait un peu penser à certain GSM haut de gamme.
Pour rester dans les cadrans noirs, je trouve celui de la memovox worldtime beaucoup plus réussit, je sais que cette montre plaira à certains amateurs frustrés de ne plus trouver ce type de piéces classique chez JlC, la montre à beaucoup de charme:
La grosse nouveauté, la grosse tuerie, c'est évidement la nouvelle grande complication.
J'ai été bluffé par cette piéce à nombre d'égards, tourbillon volant, en sens anti horaire sur 23h56, durée réelle d'une journée, carte du ciel, quantiéme annuel et répétition minute.
Tour de force de faire tenir autant de complications dans une montre à l'épaisseur relativement contenue, autour de 16mm pour 44, mais la montre parait plus petite.
Le "badge" sonnerie que l'on voie sur le saphir est en fait le timbre, qui vient résonner directement sur le saphir, la montre est en or blanc.
C'est une montre qu'Anne m'as prété pendant une demi heure, j'ai eu le temps de jouer un peu avec, d'être fasciné par le tourbillon, quand elle auras un cadran digne de ce nom (aller au hasard titane bleui, comme chez De Béthune), elle sera éminemment onirique avec sont fascinant tourbillon volant, JlC bénéficie d'ailleurs d'une belle expertise sur cette complication, leurs tourbillons sont toujours très visuels.
C'est un proto, donc à priori tant la finition du cadran que du réhaut, ne sont pas définitives, je le souhaite, le cadran est sympa, mais ne rend pas grace à la carte du ciel, et le réhaut avec le QA est violemment cheap.
Sonnerie:
La piéce n'est pas vraiment une nouveauté, mais elle reflète tellement bien le savoir faire de JlC, c'est une Atmos fascinante, le genre de piéce qui vous fait regretter de ne pas avoir joué à Euromillions:
Le système se remonte en fermant la boite:
Francis, un des concepteur de pas mal de piéces:
Modérateur est un calvaire:
Regardez le truc de fou qu'elle portait, j'ai oublié de prendre une photo, j'étais troublé un pavage de brillant, pavage intégral, magnifique:
Anne qui m'as reçu pour mon troisième passage:
Le mouvement du Gyro, pour la route.
Encore une fois, je suis stupéfait par mon passage chez JlC, le rytme des sorties ne baisse pas, tout n'est pas heureux, mais les innovations et les grandes complications pleuvent, quand certains ont du mal à augmenter de 2mm la taille du boitier!
3 heures là bas, n'ont pas suffit à faire le tour des nouveautés, l'acceuil de Lucie et Anne fut vraiment adorable, bref, que du bonheur. Le tout presque sans rendez-vous.
Gros regret, je n'ais pas le numéro de femme en photo avec moi.