Merci à tous pour vos réponses enthousiastes.
Ce trio est l'aboutissement d'une démarche qui commença avec la version 4838.
Ce chronomètre royal m'attirait pour son esthétique forte, son calibre, ses aiguilles.
C'était aussi la toute première version der chronomètre de poignet chez Vacheron Constantin, la pionnière de 1953.
J'avais une préférence pour la version seconde centrale, celle-ci me semblant plus adaptée au principe d'une chronomètre pour une lecture précise de l'heure.
bref, la 4838, c'était pour moi le chronomètre royal évident chez VC, celui que je reconnaissais de loin...
Puis est venue la découverte des autres modèles et surtout une rencontre avec la version 6111 à cadran noir. C'était il y a 1 an environ et ce fut un coup de coeur immédiat. Le cadran noir avec ses poussières d'étoiles m'avait envouté.
Ce n'est qu'en la portant que j'ai découvert, me suis mis à apprécier, et finalement me délecter de cette forme de boite très travaillée et que François à très bien expliquée. Initialement, je n'avais pas étudié cette boite, que j'associais au modèle UltraThin de 1955. Le cadran noir occupait toute mon attention. Aujourd'hui, je suis subjugué par ce dessin.
Et c'est pourquoi la version 6111 à cadran blanc s'est aussi imposée : dans un état parfait, venant avec un bracelet d'un travail remarquable et surtout avec en full set. J'ai donc sauté le pas pour compléter ce trio.
Pour répondre à François sur le bracelet or, je l'ai porté une journée complète, mais j'ai préféré le retirer à l'issu de cet essai. La qualité d'exécution est remarquable. Fin et parfaitement intégré au reste de la boite, je trouve qu'il apporte un degré de sophistication supplémentaire. Mais je ne suis pas certain d'attendre autant de préciosité d'un objet chronométrique. Et ce bracelet détournait mon attention de ce boitier que j'aime tant. Son état remarquable et son apparente fragilité m'ont convaincu de le préserver et donc de le retirer.