Hier soir, j'ai découvert un proto de la Bathy V.2. chez M. Fréret. L'occasion de rencontrer une équipe très sympathique, un bon moment.
Fréret-Roy est la seule maison parisienne a proposer la gamme Favre-Leuba, il était donc nécessaire que je passe voir cette nouvelle plongeuse pour le moins originale.
La voici :
Un monstre de 46mm de diamètre pour une épaisseur de 18mm. Boîte Titane grade 5, oui, grade 5.
La montre est la réinterprétation de la Bathy des années 60 :
crédit "montres de luxe"
La V.2 reprend le même principe de fonctionnement du profondimètre à aiguille traînante. Ce système est totalement différent de celui employé par JLC, il a pour avantage de ne pas obliger la greffe d'un module sur le côté de la montre. Il fonctionne grâce à l'utilisation d'une membrane située dans un double fond, la pression sur celle-ci entraînant le déplacement de l'aiguille. On peut lui reprocher de ne fonctionner que jusqu'à 45 mètres pour une montre étanche à 300 mètres.
La lunette tournante interne s'actionne par la couronne située à 9 heures.
La montre reste très confortable malgré une épaisseur importante. Le poids du titane, la forme du fond de boîte et le strap en caoutchouc y sont pour beaucoup.
A première vue, le cadran semble chargé mais tout est fait pour optimisé la lisibilité en plongée. Cette montre respire le sérieux et la technicité.
Un détail de la boucle, elle aussi en titane.
Pour conclure, j'ai beaucoup aimé cette montre car j'aime les montres sportives. Elle est très technique, imposante, presque de "l'espace". Une prod a classer avec la Kontiki Diver et autres.
A+
Doug
Fréret-Roy est la seule maison parisienne a proposer la gamme Favre-Leuba, il était donc nécessaire que je passe voir cette nouvelle plongeuse pour le moins originale.
La voici :
Un monstre de 46mm de diamètre pour une épaisseur de 18mm. Boîte Titane grade 5, oui, grade 5.
La montre est la réinterprétation de la Bathy des années 60 :
crédit "montres de luxe"
La V.2 reprend le même principe de fonctionnement du profondimètre à aiguille traînante. Ce système est totalement différent de celui employé par JLC, il a pour avantage de ne pas obliger la greffe d'un module sur le côté de la montre. Il fonctionne grâce à l'utilisation d'une membrane située dans un double fond, la pression sur celle-ci entraînant le déplacement de l'aiguille. On peut lui reprocher de ne fonctionner que jusqu'à 45 mètres pour une montre étanche à 300 mètres.
La lunette tournante interne s'actionne par la couronne située à 9 heures.
La montre reste très confortable malgré une épaisseur importante. Le poids du titane, la forme du fond de boîte et le strap en caoutchouc y sont pour beaucoup.
A première vue, le cadran semble chargé mais tout est fait pour optimisé la lisibilité en plongée. Cette montre respire le sérieux et la technicité.
Un détail de la boucle, elle aussi en titane.
Pour conclure, j'ai beaucoup aimé cette montre car j'aime les montres sportives. Elle est très technique, imposante, presque de "l'espace". Une prod a classer avec la Kontiki Diver et autres.
A+
Doug