Préambule :
Toutes les photos présentées ci-dessous sont la propriété d’Amanico. Merci de ne pas les sortir de leur contexte.
…………
Amanico a déjà fait une revue sur la 70eme avec des photos de la version platine :
http://jlc.watchprosite.com/?show=forumpost&fi=2&pi=2476216&ti=413141&msid=0&s=
Voici alors une comparaison entre l'or et la platine de la Reverso Septantième.
Elles ne sont aussi différentes que nous pourrions penser.
La seule différence est la manière dont les cadrans sont traités.
Mais cela fait une grande diférence: cela change totalement la perception que vous pourriez avoir sur ce modèle.
La différence la plus évidente est bien évidement la couleur du cadran.
Sur le platine, le ruthénium est principalement employé, souligné par quelques pièces blanches (RDM, petites secondes, index de minutes).
Les aiguilles des minutes et d'heure sont différentes, aussi, losange d'un côté (comme sur beaucoup de reverso) et lumineuse de l'autre.
Un autre détail sur la platine avec les index appliqués argenté, un petit air de Breguet !
Le résultat ?
Le platine est extrêmement moderne et classique en même temps, alors que l'or de Rose joue dans une autre cour...
Ici, nous ne sopmmes pas perdus avec le modèle et l'esthétique du cadran, car il rappelle la conception des anciennes éditions en or rose des90's (60ème, Tourbillon, petit répétition, chronographe, Géographique, et QP).
Le même guilloché, les mêmes index, il ressemble en effet à une Reverso GT en or rose, mais plus grand.
Les aiguilles bleuies vont parfaitement avec un cadran blanc et rende la montre très lisible.
Ici, aucune matière lumineuse, ce qui n'est pas problématique du tout. (sur la platine, il n'y a de la matière que sur les aiguilles et non sur les index).
Avec la 70eme or rose, vous n'aurez pas ce mélange de modernité et de classicisme.
Dénuée de modernité, elle reste une montre classique, habillée et c'est lojn d'être déplaisant!
Le contraste entre la boite en or rose et le cadran blanc, augmentés de contrastes bleus, est peut-être plus intemporel.
Le cadran est une chose, le mouvement vaut bien qu'on s'y attarde aussi.
Il faut rappeler que la Septantiémes a reçu un mouvement en or 18k et décoré avec un col de cygne.
Ici encore, tradition et modernité contre la tradition :
Il s'agit également du premier mouvement 8ours logé dans un Reverso, la Grnde date étant arrivée après.
Pour rêver un peu:
Perlages, anglages et côte de Genève.. tout est là...
Là, le verso saphir est vraiment nécessaire (contrairement à certaines Reverso)
En conclusion, la Septantième est définitivement une dream watch, plus tournée vers l'inaccessible mais bon, il en faut...
Un ballet en or Rose et en platine :
Merci à Amanico!
Toutes les photos présentées ci-dessous sont la propriété d’Amanico. Merci de ne pas les sortir de leur contexte.
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Amanico a déjà fait une revue sur la 70eme avec des photos de la version platine :
http://jlc.watchprosite.com/?show=forumpost&fi=2&pi=2476216&ti=413141&msid=0&s=
Voici alors une comparaison entre l'or et la platine de la Reverso Septantième.
Elles ne sont aussi différentes que nous pourrions penser.
La seule différence est la manière dont les cadrans sont traités.
Mais cela fait une grande diférence: cela change totalement la perception que vous pourriez avoir sur ce modèle.
La différence la plus évidente est bien évidement la couleur du cadran.
Sur le platine, le ruthénium est principalement employé, souligné par quelques pièces blanches (RDM, petites secondes, index de minutes).
Les aiguilles des minutes et d'heure sont différentes, aussi, losange d'un côté (comme sur beaucoup de reverso) et lumineuse de l'autre.
Un autre détail sur la platine avec les index appliqués argenté, un petit air de Breguet !
Le résultat ?
Le platine est extrêmement moderne et classique en même temps, alors que l'or de Rose joue dans une autre cour...
Ici, nous ne sopmmes pas perdus avec le modèle et l'esthétique du cadran, car il rappelle la conception des anciennes éditions en or rose des90's (60ème, Tourbillon, petit répétition, chronographe, Géographique, et QP).
Le même guilloché, les mêmes index, il ressemble en effet à une Reverso GT en or rose, mais plus grand.
Les aiguilles bleuies vont parfaitement avec un cadran blanc et rende la montre très lisible.
Ici, aucune matière lumineuse, ce qui n'est pas problématique du tout. (sur la platine, il n'y a de la matière que sur les aiguilles et non sur les index).
Avec la 70eme or rose, vous n'aurez pas ce mélange de modernité et de classicisme.
Dénuée de modernité, elle reste une montre classique, habillée et c'est lojn d'être déplaisant!
Le contraste entre la boite en or rose et le cadran blanc, augmentés de contrastes bleus, est peut-être plus intemporel.
Le cadran est une chose, le mouvement vaut bien qu'on s'y attarde aussi.
Il faut rappeler que la Septantiémes a reçu un mouvement en or 18k et décoré avec un col de cygne.
Ici encore, tradition et modernité contre la tradition :
Il s'agit également du premier mouvement 8ours logé dans un Reverso, la Grnde date étant arrivée après.
Pour rêver un peu:
Perlages, anglages et côte de Genève.. tout est là...
Là, le verso saphir est vraiment nécessaire (contrairement à certaines Reverso)
En conclusion, la Septantième est définitivement une dream watch, plus tournée vers l'inaccessible mais bon, il en faut...
Un ballet en or Rose et en platine :
Merci à Amanico!
Dernière édition par thomasm le Mar 16 Mar 2010, 09:15, édité 1 fois