Le SIHH 2010 nous a reservé une très belle surprise du coté de chez JLC !
Un nouveau Duomètre et ce, 3 ans après avoir inauguré cette nouvelle gamme au sein de sa collection avec le déjà mythique Duomètre chronographe, enchainé magistralement avec l'Hybris Mechanica, voici le Duomètre à quantième lunaire.
JLC conseve le même damètre que le chronographe à savoir 42mm et son épaisseur est de 13,5mm, ce Duomètre est étanche à 50 metres.
Le principe des Duomètre est de proposer deux barillets pour isoler la fonction horaire d'une foction distincte sans pertuber le fonctionnement de la première.
Dans le cas du Duomètre à quantième lunaire équipé du calibre 381 composé de 369 pièces et d'une reserve de marche de 50 heures, JLC propose un affichage dans un cadran dedié de l'heure et des minutes, une seconde centrale et d'une foudroyante au sixième, un affichage dans un autre cadran de la phase et de la l'age de la lune et de la date.
Bien visible à travers le fond saphir du Duomètre à quantième lunaire, de part et d'autre, un barillet et son ressort moteur qui garantit une réserve de marche de 50 heures. Le premier pour les heures, les minutes, les secondes, la seconde foudroyante, le quantième et la phase de lune et le second entièrement dévolu au mécanisme de l’échappement afin d’assurer un approvisionnement constant en énergie.
Comme pour le Duomètre chronographe, les deux barillets sont remontés par l’entremise de la couronne : une rotation imprimée dans le sens horaire arme le barillet de la mesure du temps (l’échappement) alors que le même mouvement effectué dans le sens antihoraire remonte la réserve de marche des différentes fonctions (heures, minutes, secondes, seconde foudroyante, quantième et phase de lune).
Ce Duomètre possède deux aiguilles des secondes, la première centrale, la seconde foudroyante au sixième de seconde à 6 heures. C'est notamment à ce moment ci que l'interêt d'avoir ce second barillet dedié à l'échappement et au balancier prend toute sa dimension.
En tirant la couronne à 3 heures, les deux aiguilles des secondes, l’aiguille au centre et la seconde foudroyante reviennent à zéro alors que le mécanisme de l’échappement continue de fonctionner. Il suffit de repousser la couronne pour remettre en route les deux aiguilles simultanément en les associant avec l’échappement en marche.
Dès qu’elles sont relâchées, les roues des aiguilles s’engrènent simplement avec le mécanisme actif de la mesure du temps et se mettent à tourner sur-le-champ à la cadence de la montre, soit 21'600 alternances par heure.Ainsi, la précision est maximale instantanément car le balancier est resté en fonction. Les stop secondes traditionnels, qui arrêtent le balance, nécessite plusieurs minutes avant d’atteindre leur précision, minutes pendant lesquelles l’écart de marche est de plusieurs minutes par jour.
En dehors de la couronne traditionnelle à 3 heures, le reglage de la date s'opère par un poussoir à 10 heures, comme sur ma Lange 1 , l'age de la lune par un correcteur situé entre 11 heures et 12 heures.
Le cadran est ouvert à 5 heures et à 7 heures, c'était visuellement derangeant lorsque j'ai vu les premieres photos de ce nouveau Duomètre. En main, cele ne l'est plus du tout, cela permet de voir les deux reserves de marche et cerise sur le gateau, ce fameux balancier continuer à osciller lorsqu'on tire la couronne et que les secondes viennent s'immobiliser à zero !
En conclusion, avec ce Duomètre à quantième lunaire, nous n'avons pas affaire à un échappement à force contante mais d'un échappement isolé de l'inertie des indications. Il pemet à mon sens d'ameliorer la precision de cette montre notamment en cas de mise à l'heure, d'utlisation de la foudroyante ou changement de date/phase de lune.
C'est une montre à voir et à essayer, j'étais déjà attiré par la beauté des boitiers Duomètre, je suis desormais convaincu que cette ligne chez JLC est une reussite tant esthètique que technique :japni:
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Or rose : 25500e
Or jaune, serie limitée 300ex : 26500e
Un nouveau Duomètre et ce, 3 ans après avoir inauguré cette nouvelle gamme au sein de sa collection avec le déjà mythique Duomètre chronographe, enchainé magistralement avec l'Hybris Mechanica, voici le Duomètre à quantième lunaire.
JLC conseve le même damètre que le chronographe à savoir 42mm et son épaisseur est de 13,5mm, ce Duomètre est étanche à 50 metres.
Le principe des Duomètre est de proposer deux barillets pour isoler la fonction horaire d'une foction distincte sans pertuber le fonctionnement de la première.
Dans le cas du Duomètre à quantième lunaire équipé du calibre 381 composé de 369 pièces et d'une reserve de marche de 50 heures, JLC propose un affichage dans un cadran dedié de l'heure et des minutes, une seconde centrale et d'une foudroyante au sixième, un affichage dans un autre cadran de la phase et de la l'age de la lune et de la date.
Bien visible à travers le fond saphir du Duomètre à quantième lunaire, de part et d'autre, un barillet et son ressort moteur qui garantit une réserve de marche de 50 heures. Le premier pour les heures, les minutes, les secondes, la seconde foudroyante, le quantième et la phase de lune et le second entièrement dévolu au mécanisme de l’échappement afin d’assurer un approvisionnement constant en énergie.
Comme pour le Duomètre chronographe, les deux barillets sont remontés par l’entremise de la couronne : une rotation imprimée dans le sens horaire arme le barillet de la mesure du temps (l’échappement) alors que le même mouvement effectué dans le sens antihoraire remonte la réserve de marche des différentes fonctions (heures, minutes, secondes, seconde foudroyante, quantième et phase de lune).
Ce Duomètre possède deux aiguilles des secondes, la première centrale, la seconde foudroyante au sixième de seconde à 6 heures. C'est notamment à ce moment ci que l'interêt d'avoir ce second barillet dedié à l'échappement et au balancier prend toute sa dimension.
En tirant la couronne à 3 heures, les deux aiguilles des secondes, l’aiguille au centre et la seconde foudroyante reviennent à zéro alors que le mécanisme de l’échappement continue de fonctionner. Il suffit de repousser la couronne pour remettre en route les deux aiguilles simultanément en les associant avec l’échappement en marche.
Dès qu’elles sont relâchées, les roues des aiguilles s’engrènent simplement avec le mécanisme actif de la mesure du temps et se mettent à tourner sur-le-champ à la cadence de la montre, soit 21'600 alternances par heure.Ainsi, la précision est maximale instantanément car le balancier est resté en fonction. Les stop secondes traditionnels, qui arrêtent le balance, nécessite plusieurs minutes avant d’atteindre leur précision, minutes pendant lesquelles l’écart de marche est de plusieurs minutes par jour.
En dehors de la couronne traditionnelle à 3 heures, le reglage de la date s'opère par un poussoir à 10 heures, comme sur ma Lange 1 , l'age de la lune par un correcteur situé entre 11 heures et 12 heures.
Le cadran est ouvert à 5 heures et à 7 heures, c'était visuellement derangeant lorsque j'ai vu les premieres photos de ce nouveau Duomètre. En main, cele ne l'est plus du tout, cela permet de voir les deux reserves de marche et cerise sur le gateau, ce fameux balancier continuer à osciller lorsqu'on tire la couronne et que les secondes viennent s'immobiliser à zero !
En conclusion, avec ce Duomètre à quantième lunaire, nous n'avons pas affaire à un échappement à force contante mais d'un échappement isolé de l'inertie des indications. Il pemet à mon sens d'ameliorer la precision de cette montre notamment en cas de mise à l'heure, d'utlisation de la foudroyante ou changement de date/phase de lune.
C'est une montre à voir et à essayer, j'étais déjà attiré par la beauté des boitiers Duomètre, je suis desormais convaincu que cette ligne chez JLC est une reussite tant esthètique que technique :japni:
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Or rose : 25500e
Or jaune, serie limitée 300ex : 26500e