J'ai été reçu par Yacine, chez Urwerk, basiquement, je ne suis pas fan de la marque, le design de soucoupe volante, ayant, même si je suis grand amateur de SF/Space Opéra, à me laisser de marbre.
Mais, je ne raterais un rendez-vous avec Yacine, sous aucun prétexte, donc j'ai sorti mon gros zoom, et j'ai vu.
Faut dire, pour être tout à fait honnète, que j'étais très curieux de la CC1, qui mieux que réssusciter, donne vie au concept de la cobra, d'ailleurs, nulle part n'apparait dans le com' officiel de Urwerk, ce dénomination, mais on va quand même appeler la UR-CC1, la Cobra, c'est plus classe, et je vois bien le blondinet à tronche de Bébel porter ça au poignet (et en prime on reste dans le space, heureux hasard d'une Shelby et d'un Manga qui téléscopent de manière approprié).
Si la référence, Space Opéra, est moins présente, que dans le reste de la gamme, la référence Muscle Car, est elle, évidente, je ne m'en plendrais, l'hommage reste discret, pas besoin de pistons, d'amortisseurs, et arbre à camme, pour nous le rappeler.
De surcroit, le coté Ouest sauvage lié au mythe du Muscle Car, colle très bien avec l'univers Space Op/western, de Cobra, le dessin animé.
Au fait, vous ais-je dit que Urwerk avait édité une BD Space Op en N&B, comme un certain manga appelé Cobra?
Vous savez, comme je suis attaché, voire obsédé par les carrures des montres, celle de la Cobra, sont magnifiques, et il se passe des trucs en plus sur le coté, j'adore.
Cette montre, souffre de deux défauts, le premier, on le voit sur le poignet, ou à coté de l'Amvox, c'est un peu gros, mais son plus gros défaut, c'est le prix, plus de 200000€, on accroche le tarif d'un Gyro Tourbillon, qui propose un autre niveau de prestation horlogère, cela dit, la montre est magnifique.
Ensuite, les "classiques", pas ma tasse de thé, définitivement, à chaque fois que j'en essaye, le même sentiment de rien, ça m'en touche une sans faire bouger l'autre, pourtant les finitions sont au rendez-vous, et là aussi les prix, par rapport à la concurrence font mal au porte feuille.
Ma photo ne lui rend pas grâce mais les traitement PVD de chez Urwerk, sont sans doute les plus beau de l'horlogerie Suisse (avec les Panerai pré-V )...
Ma grosse suprise, ça été celle-ci, jamais vu non plus, sur les kits presse, juste une Urwerk de plus, mais au poignet elle fait vraiment mal, presque autant que la Cobra, le cadran de cette UR-203, ou plutôt le mécanisme mis à nu, est magnifique, c'est réellement hypnotique, c'est ultra-finit, c'est beau, ça claque, difficile de s'en détacher.
En dehors du système dont vous imaginez le fonctionnement, il faut notez que l'aiguille se rétrace suivant la courbure du chemin de fer, hallucinant, et l'autre point est bien sur le système de frein du rotor par entrée d'air, je préfère pour tout dire, le système d'armage de De Béthune (dont je comprend mieux le fonctionnement ), cela dit, la possibilité de regler le remontage automatique, est en soit géniale, et il faut féliciter Urwerk d'avoir devellopé un système original.
Ce qui me console de ne pas avoir la somme stratosphérique demandée, c'est que le boitier est microbillé, qui donne cette aspect mat, puis je ne suis pas super fan du tombé au poignet, mais j'aurais pu faire un effort, si le boitier avait brillé. (bling+pifpaf=pimp, je sais)
Cette photo c'est ce qu'on ressent au poignet, avec cette pièce.
Une montre d'ailleurs, que n'aurait pas renié notre ami Cobra ou Lady armanoïde, ici le générique Japonais, Intro/outro:
Merci Yacine.
Mais, je ne raterais un rendez-vous avec Yacine, sous aucun prétexte, donc j'ai sorti mon gros zoom, et j'ai vu.
Faut dire, pour être tout à fait honnète, que j'étais très curieux de la CC1, qui mieux que réssusciter, donne vie au concept de la cobra, d'ailleurs, nulle part n'apparait dans le com' officiel de Urwerk, ce dénomination, mais on va quand même appeler la UR-CC1, la Cobra, c'est plus classe, et je vois bien le blondinet à tronche de Bébel porter ça au poignet (et en prime on reste dans le space, heureux hasard d'une Shelby et d'un Manga qui téléscopent de manière approprié).
Si la référence, Space Opéra, est moins présente, que dans le reste de la gamme, la référence Muscle Car, est elle, évidente, je ne m'en plendrais, l'hommage reste discret, pas besoin de pistons, d'amortisseurs, et arbre à camme, pour nous le rappeler.
De surcroit, le coté Ouest sauvage lié au mythe du Muscle Car, colle très bien avec l'univers Space Op/western, de Cobra, le dessin animé.
Au fait, vous ais-je dit que Urwerk avait édité une BD Space Op en N&B, comme un certain manga appelé Cobra?
Vous savez, comme je suis attaché, voire obsédé par les carrures des montres, celle de la Cobra, sont magnifiques, et il se passe des trucs en plus sur le coté, j'adore.
Cette montre, souffre de deux défauts, le premier, on le voit sur le poignet, ou à coté de l'Amvox, c'est un peu gros, mais son plus gros défaut, c'est le prix, plus de 200000€, on accroche le tarif d'un Gyro Tourbillon, qui propose un autre niveau de prestation horlogère, cela dit, la montre est magnifique.
Ensuite, les "classiques", pas ma tasse de thé, définitivement, à chaque fois que j'en essaye, le même sentiment de rien, ça m'en touche une sans faire bouger l'autre, pourtant les finitions sont au rendez-vous, et là aussi les prix, par rapport à la concurrence font mal au porte feuille.
Ma photo ne lui rend pas grâce mais les traitement PVD de chez Urwerk, sont sans doute les plus beau de l'horlogerie Suisse (avec les Panerai pré-V )...
Ma grosse suprise, ça été celle-ci, jamais vu non plus, sur les kits presse, juste une Urwerk de plus, mais au poignet elle fait vraiment mal, presque autant que la Cobra, le cadran de cette UR-203, ou plutôt le mécanisme mis à nu, est magnifique, c'est réellement hypnotique, c'est ultra-finit, c'est beau, ça claque, difficile de s'en détacher.
En dehors du système dont vous imaginez le fonctionnement, il faut notez que l'aiguille se rétrace suivant la courbure du chemin de fer, hallucinant, et l'autre point est bien sur le système de frein du rotor par entrée d'air, je préfère pour tout dire, le système d'armage de De Béthune (dont je comprend mieux le fonctionnement ), cela dit, la possibilité de regler le remontage automatique, est en soit géniale, et il faut féliciter Urwerk d'avoir devellopé un système original.
Ce qui me console de ne pas avoir la somme stratosphérique demandée, c'est que le boitier est microbillé, qui donne cette aspect mat, puis je ne suis pas super fan du tombé au poignet, mais j'aurais pu faire un effort, si le boitier avait brillé. (bling+pifpaf=pimp, je sais)
Cette photo c'est ce qu'on ressent au poignet, avec cette pièce.
Une montre d'ailleurs, que n'aurait pas renié notre ami Cobra ou Lady armanoïde, ici le générique Japonais, Intro/outro:
Merci Yacine.