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J'ai poste ces revues initialement sur HFR et sur FAM. Beaucoup des posteurs de MM viennent d'un des mondes ou des deux, donc pour eux potentiellement rien de nouveau. Mais dans l'objectif d'enrichir MM et de partager avec ceux qui ne trainent pas leur guetres partout, j'ai decide de copier l'ensemble de mes revues ici 
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Voila ma revue de ma PO. Attention, photos pleines de poussieres
Note: Contrairement a l'habitude, aucune photo n'a eu de traitement particulier autre qu'un equilibrage du contraste et des couleurs.
Bon, alors on ne presente plus la Seamaster Planet Ocean d'Omega, modele rendu celebre par l'ami Daniel Craig, le nouveau visage de James Bond.
(notez l'url)
La Seamaster Planet Ocean est equipee du calibre 2500 d'Omega, a echappement coaxial dont la conception est censee limiter les frottements, et assurer une meilleure precision. Je n'ai pas ma montre depuis suffisamment longtemps pour en juger avec precision, mais pour l'instant elle semble reellement bien tenir l'heure.
Je n'avais pas prevu d'acquerir cette montre. Mais suite a la reception, et au shooting du modele 42mm a indexs blancs destine a un ami, j'ai completement flashe dessus.
Au meme moment, signe du ciel, une opportunite incroyable se presente a moi, pour ce meme modele 42mm/indexs blancs, precisement.
CHI foudroyante, je revends les 3/4 de ma collection pour financer la belle.
Un veritable coup de foudre, et je ne regrette pas un instant mon operation, meme si elle a signifie me separer de ma premiere "vraie" montre, mon chrono Jazzmaster d'Hamilton.
Alors, qu'est-ce qui me plait dans cette montre? A peu pres tout. Mais voyons un peu plus en detail ce qui me fait particulierement fondre.
La boite asymetrique et l'equilibre poli/brosse de chaque cote, qui permet de la porter a droite ou a gauche sans avoir une impression de "c'est pas cette tranche la qu'on est cense voir"
La face polie sur chaque tranche, qui attrape les reflets pour donner une vie permanente au boitier
les couronnes parfaitement facettees qui chatoient sous les multiples lumieres de mon bureau
les cornes lyre solides mais dont les arrondis les rendent delicates et capables de s'adapter a un nato sans que celui-ci paraisse trop leger.
les aiguilles qui accrochent foutrement bien la lumiere, et la force leur forme qui designe sans ambiguite l'heure qu'il est comme si elles ne pouvaient pas se tromper
la lunette parfaite en ce qu'elle n'est pas toute noire, mais 1/3-2/3, ce qui l'allege idealement
la pastille de la lunette, qui rompt parfaitement la continuite de celle-ci comme pour bien dire "C'est ici le debut"
la police des indexs de la lunette, ecrasee, qui donne une dynamique incontestable a celle-ci
Le logo Omega applique, qui donne juste ce qu'il faut de relief a la litterature du cadran
la petite touche d'orange au bout de la trotteuse, qui montre qu'elle ne se prend pas au serieux
la date presque parfaite (elle aurait pu etre un poil plus grosse pour equilibrer le 9, ou alors reduire un poil les indexs), le raffinement de decoupe du guichet de date qui montre que c'est pas juste un coup de cutter dans un morceau de plastique
La finesse des cerclages d'indexs et le chemin de fer
Le bracelet, veritable reussite en lui-meme (deja marque)
la boucle qui rassure bien quand elle fait "clic" et l'integration remarquable de l'extension de plongee donnant une boucle qui ne "depasse" pas
La forme des maillons de la boucle qui donnent une fluidite incroyable au bracelet
le petit verdoiement dans l'ascenseur quand le temps est beau et qu'elle a pointe son cadran au soleil
Le fond, qui s'il n'est pas transparent (heureusement pour une plongeuse, il parait) est fort joliment decore et dont la finition indique que meme si ce n'est pas ce qu'on voit le plus, ca ne veut pas dire qu'on peut le bacler
Enfin, l'a/r de malade qui lui donne un cadran parfaitement contraste et qui la rend juste parfaite
Quelques cliches supplementaires:
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Voila ma revue de ma PO. Attention, photos pleines de poussieres
Note: Contrairement a l'habitude, aucune photo n'a eu de traitement particulier autre qu'un equilibrage du contraste et des couleurs.
Bon, alors on ne presente plus la Seamaster Planet Ocean d'Omega, modele rendu celebre par l'ami Daniel Craig, le nouveau visage de James Bond.
(notez l'url
)La Seamaster Planet Ocean est equipee du calibre 2500 d'Omega, a echappement coaxial dont la conception est censee limiter les frottements, et assurer une meilleure precision. Je n'ai pas ma montre depuis suffisamment longtemps pour en juger avec precision, mais pour l'instant elle semble reellement bien tenir l'heure.
Je n'avais pas prevu d'acquerir cette montre. Mais suite a la reception, et au shooting du modele 42mm a indexs blancs destine a un ami, j'ai completement flashe dessus.
Au meme moment, signe du ciel, une opportunite incroyable se presente a moi, pour ce meme modele 42mm/indexs blancs, precisement.
CHI foudroyante, je revends les 3/4 de ma collection pour financer la belle.
Un veritable coup de foudre, et je ne regrette pas un instant mon operation, meme si elle a signifie me separer de ma premiere "vraie" montre, mon chrono Jazzmaster d'Hamilton.
Alors, qu'est-ce qui me plait dans cette montre? A peu pres tout. Mais voyons un peu plus en detail ce qui me fait particulierement fondre.
La boite asymetrique et l'equilibre poli/brosse de chaque cote, qui permet de la porter a droite ou a gauche sans avoir une impression de "c'est pas cette tranche la qu'on est cense voir"
La face polie sur chaque tranche, qui attrape les reflets pour donner une vie permanente au boitier
les couronnes parfaitement facettees qui chatoient sous les multiples lumieres de mon bureau
les cornes lyre solides mais dont les arrondis les rendent delicates et capables de s'adapter a un nato sans que celui-ci paraisse trop leger.
les aiguilles qui accrochent foutrement bien la lumiere, et la force leur forme qui designe sans ambiguite l'heure qu'il est comme si elles ne pouvaient pas se tromper
la lunette parfaite en ce qu'elle n'est pas toute noire, mais 1/3-2/3, ce qui l'allege idealement
la pastille de la lunette, qui rompt parfaitement la continuite de celle-ci comme pour bien dire "C'est ici le debut"
la police des indexs de la lunette, ecrasee, qui donne une dynamique incontestable a celle-ci
Le logo Omega applique, qui donne juste ce qu'il faut de relief a la litterature du cadran
la petite touche d'orange au bout de la trotteuse, qui montre qu'elle ne se prend pas au serieux
la date presque parfaite (elle aurait pu etre un poil plus grosse pour equilibrer le 9, ou alors reduire un poil les indexs), le raffinement de decoupe du guichet de date qui montre que c'est pas juste un coup de cutter dans un morceau de plastique
La finesse des cerclages d'indexs et le chemin de fer
Le bracelet, veritable reussite en lui-meme (deja marque
)la boucle qui rassure bien quand elle fait "clic" et l'integration remarquable de l'extension de plongee donnant une boucle qui ne "depasse" pas
La forme des maillons de la boucle qui donnent une fluidite incroyable au bracelet
le petit verdoiement dans l'ascenseur quand le temps est beau et qu'elle a pointe son cadran au soleil
Le fond, qui s'il n'est pas transparent (heureusement pour une plongeuse, il parait
) est fort joliment decore et dont la finition indique que meme si ce n'est pas ce qu'on voit le plus, ca ne veut pas dire qu'on peut le baclerEnfin, l'a/r de malade qui lui donne un cadran parfaitement contraste et qui la rend juste parfaite
Quelques cliches supplementaires:
