Après avoir passé deux jours au Salon Belles Montres, je vous propose ma galerie de wristshots.
En quelques mots, si l'événement reste incontournable et appréciée, je pense sincèrement qu'il a besoin d'idées nouvelles maintenant. Après 6 ans, un sentiment de déjà vu se fait sentir et ce n'est pas le plateau plutôt déséquilibré qui me fera penser le contraire. Sans oublier que l'éclairage, année après année, me semble peu adapté.
Il serait très simple de dire "Belles Montres, c'est extraordinaire, continuez comme ça"! Mais ce ne serait pas un service à rendre. La pression d'autres salons européens se fait sentir: Munichtime, QP etc...
C'est bien parce que c'est un événement important que j'apprécie beaucoup, qu'il fut le premier sur ce créneau, que je me souviens des excellents moments et rencontres des premières éditions que justement il est important de faire remonter son point de vue sincère. Et mon point de vue est que je perçois un déclin.
- La décoration a fait son temps.
- Certaines absences se font cruellement ressentir.
- Le cocktail du jeudi soir, assez cheap osons le dire, est devenu l'endroit où il ne faut surtout pas venir: 40 personnes au mètre carrée dont 80% n'ont rien à faire là, visiblement peu passionnées par l'horlogerie. Pourquoi ne pas faire de ce cocktail un vrai événement qualitatif célébrant l'horlogerie avec les invités ad-hoc, avec de vrais passionnés?
Le SalonQP a fait son auto-critique. Le premier lieu était très moyen et tout le Salon a été repensé. Et grâce à ce changement, il possède maintenant une nouvelle dynamique. Pourquoi Belles Montres ne ferait-il pas de même?
Malgré ces critiques, le plaisir demeure grâce aux discussions, aux découvertes, aux amis... c'est un lieu de rencontre unique qui grâce à sa date permet de refaire un bilan de l'année avant de se projeter très vite au cours des prochaines semaines dans le SIHH... et rien que pour cela, vivement le prochain Salon!
Je vous propose quelques photos prises pendant ma visite:
Opus 12 est une de mes montre préférées de l'année:
Le Chrono Tri-Rétrograde:
Ce Tourbillon Contemporain est la montre portée par Stephen Forsey. Il s'agit d'un prototype reconnaissable au fait que la version finale possède une rdm différente:
L'Androgyne se pare de noir:
Les hautes fréquences avec Chopard:
La LM1, toute auréolée de ses prix au GPHG:
C'est gros, c'est délirant, c'est fou, c'est importable mais le Steampunk va à ravir à la Tread One:
Il n'est pas minuit, je n'ouvre pas le rideau:
Cette Corum est une série limitée de 50 exemplaires dédiée au marché français:
Le Tourbillon de chez Lehmann. Compte tenu de sa tête, certaines pièces doivent venir de MHVJ:
Quel plaisir de revoir la HYT!
Une des belles surprises du salon, la Trilogie Le Corbusier de GP:
Une nouvelle marque, SuisseMecanica dont l'idée est de proposer des boîtiers au design très masculin:
Le Tourbillon de julien Coudray avec le soin apporté aux détails:
La 4N fonctionne et je suis très heureux pour François Quentin!
Un chrono sympathique par Vulcain, malheureusement automatique:
Carl F.Bucherer était très présent pour accroître sa visibilité sur le marché français:
La Type 22 de Haute Couture Horlogère, la marque de Romain Réa. L'idée est de proposer des modèles de base au sein de la collection et de pouvoir les personnaliser:
Impossible pour moi de rater Benoït Mintiens et sa montre Ressence!
Une des montres les plus intéressantes, la dernière montre de Konstantin Chaykin qui présente une nouvelle façon d'afficher le temps, à la russe. Il est 3h17... de la nuit comme l'indique la montre. La journée de 24 heures est composée de 4 périodes et lorsqu'une période s'écoule, les chiffres dans les guichets changent.
Un grand merci à toutes les équipes des marques et aux horlogers pour leur accueil chaleureux pendant le salon!
En quelques mots, si l'événement reste incontournable et appréciée, je pense sincèrement qu'il a besoin d'idées nouvelles maintenant. Après 6 ans, un sentiment de déjà vu se fait sentir et ce n'est pas le plateau plutôt déséquilibré qui me fera penser le contraire. Sans oublier que l'éclairage, année après année, me semble peu adapté.
Il serait très simple de dire "Belles Montres, c'est extraordinaire, continuez comme ça"! Mais ce ne serait pas un service à rendre. La pression d'autres salons européens se fait sentir: Munichtime, QP etc...
C'est bien parce que c'est un événement important que j'apprécie beaucoup, qu'il fut le premier sur ce créneau, que je me souviens des excellents moments et rencontres des premières éditions que justement il est important de faire remonter son point de vue sincère. Et mon point de vue est que je perçois un déclin.
- La décoration a fait son temps.
- Certaines absences se font cruellement ressentir.
- Le cocktail du jeudi soir, assez cheap osons le dire, est devenu l'endroit où il ne faut surtout pas venir: 40 personnes au mètre carrée dont 80% n'ont rien à faire là, visiblement peu passionnées par l'horlogerie. Pourquoi ne pas faire de ce cocktail un vrai événement qualitatif célébrant l'horlogerie avec les invités ad-hoc, avec de vrais passionnés?
Le SalonQP a fait son auto-critique. Le premier lieu était très moyen et tout le Salon a été repensé. Et grâce à ce changement, il possède maintenant une nouvelle dynamique. Pourquoi Belles Montres ne ferait-il pas de même?
Malgré ces critiques, le plaisir demeure grâce aux discussions, aux découvertes, aux amis... c'est un lieu de rencontre unique qui grâce à sa date permet de refaire un bilan de l'année avant de se projeter très vite au cours des prochaines semaines dans le SIHH... et rien que pour cela, vivement le prochain Salon!
Je vous propose quelques photos prises pendant ma visite:
Opus 12 est une de mes montre préférées de l'année:
Le Chrono Tri-Rétrograde:
Ce Tourbillon Contemporain est la montre portée par Stephen Forsey. Il s'agit d'un prototype reconnaissable au fait que la version finale possède une rdm différente:
L'Androgyne se pare de noir:
Les hautes fréquences avec Chopard:
La LM1, toute auréolée de ses prix au GPHG:
C'est gros, c'est délirant, c'est fou, c'est importable mais le Steampunk va à ravir à la Tread One:
Il n'est pas minuit, je n'ouvre pas le rideau:
Cette Corum est une série limitée de 50 exemplaires dédiée au marché français:
Le Tourbillon de chez Lehmann. Compte tenu de sa tête, certaines pièces doivent venir de MHVJ:
Quel plaisir de revoir la HYT!
Une des belles surprises du salon, la Trilogie Le Corbusier de GP:
Une nouvelle marque, SuisseMecanica dont l'idée est de proposer des boîtiers au design très masculin:
Le Tourbillon de julien Coudray avec le soin apporté aux détails:
La 4N fonctionne et je suis très heureux pour François Quentin!
Un chrono sympathique par Vulcain, malheureusement automatique:
Carl F.Bucherer était très présent pour accroître sa visibilité sur le marché français:
La Type 22 de Haute Couture Horlogère, la marque de Romain Réa. L'idée est de proposer des modèles de base au sein de la collection et de pouvoir les personnaliser:
Impossible pour moi de rater Benoït Mintiens et sa montre Ressence!
Une des montres les plus intéressantes, la dernière montre de Konstantin Chaykin qui présente une nouvelle façon d'afficher le temps, à la russe. Il est 3h17... de la nuit comme l'indique la montre. La journée de 24 heures est composée de 4 périodes et lorsqu'une période s'écoule, les chiffres dans les guichets changent.
Un grand merci à toutes les équipes des marques et aux horlogers pour leur accueil chaleureux pendant le salon!