Une soirée parfaite entre amis, la joie de se retrouver, le plaisir du partage avec des passionnés passionnants, de la découverte, des montres fabuleuses sur la table, pas mal de bouteilles aussi…. et j’accepte quelque chose que j’ai toujours refusé : le prêt d’une montre (2 en fait !).
La proposition était trop belle, est sous l’effet de l’alcool, j’ai été faible. Très faible….
Me voilà donc à la sortie du restaurant avec en poche deux montres d’exception, l’une vintage, l’autre moderne.
Le matin, en ouvrant un œil, je me demande évidement si j’ai rêvé.
Mais non, il y a bien une DB 25 sur ma table de chevet
Oh le faible ! J’ai accepté cette proposition et me voilà donc face à deux possibilités : je fonce au coffre et mets tout ça en sécurité ou je profite.
On est dimanche, la banque est fermée et puis…
Et puis c’est une occasion probablement unique de profiter ce cette montre fabuleuse qui m’a toujours faite rêver.
Je l’ai déjà eu en main plusieurs fois lors de rencontres avec son heureux propriétaire plus que généreux dans cette histoire. Je l’ai même déjà essayée.
Mais c’est quoi 5 minutes à une table de restaurant ? Juste le temps de se rendre compte à quel point c’est beau.
Mais quand c’est beau, on a envie de la voir évoluer au fil des heures, de la lumière, des activités, de sa tenue…
Alors c’est parti pour « on dirait que j’ai une DB 25 »…
Evidement, c’est une montre avec laquelle on se demande sans cesse si elle est trop grande pour un petit poignet.
Tout d’abord, sa taille ne gêne en rien son confort : comme déjà souligné maintes fois, ses cornes très basses et courtes font qu’elle se positionne extrêmement bien et qu’elle ne dépasse pas de mon petit poignet de 16cm.
J’irai même jusqu’à dire que c’est une montre confortable.
Seule réserve à ce stade, je ne l’ai pas encore essayée en chemise. Là, on verra comment ça passe sous la manchette.
Mais de toute façon, ce n’est pas une montre que j’ai spécialement envie de porter « habillé ».
Sport façon Michou, c’est parfait pour moi
Elle est si confortable, qu’on oublierait presque de la quitter
Fendalton, histoire de t’éviter un infarctus, je te rassure tout de suite. Ces photos sont réalisées avec trucage.
Pour ce genre d’activités (très limitées de mon côté au risque d’endommager ma personne, les outils et ce sur quoi je tenterai de bricoler), la montre était sous bonne garde...
Bon là, c’est sans trucage (si si, je remplis le lave vaisselle à la maison. Je le vide même…)
Cette réserve de marche est un bonbon esthétique que l’on voit évoluer tout au long de la journée. Un délice…
Difficile même en un week-end de faire le tour de tous les détails qui se révèlent peu à peu. J’ai hâte de la repasser (mais j’écris ceci avec au poignet une autre montre qui me fait rêver…)
La lumière sur le guillochage change sans cesse, le rehaut et la position de la minutie est fascinant, les index sphères bleuies sont un régal. Ils animent le cadran de façon spectaculaire, la couronne est incroyable, tout comme ces cornes ajourées
Fines. Le plus discrètes possible pour ne pas alourdir un visuel déjà très présent.
Du coup, je reviens ici sur sa taille, mais cette fois d’un point de vue esthétique.
C’est une volonté de la part de ses concepteurs et c’est une ligne directrice chez DB.
C’est sûr, c’est grand et présent. Mais c’est aussi le moyen de profiter pleinement de ce cadran incroyable et de laisser la place pour un moteur d’exception que l’on peut rester longtemps à regarder
Jouer à faire tourner le rotor s’avère aussi être une activité tout à fait ludique…
La nouvelle taille conviendrait cependant mieux à mon petit poignet, c’est certain.
Mais même dans cette taille originelle, c’est une montre extrêmement raffinée et qui transpire la qualité et la bien facture.
Sa taille ne donne donc pas le sentiment d’ostentation. Plutôt celui d’une petite ouvre d’art que l’on porte au poignet et que Mallet-Steven aurait probablement apprécié tant l’architecture de cette DB 25 est fascinante.
C’est une montre superlative. Mais qui sait rester ludique à bien des égards. Le regarde ma fille de 13 ans fut enthousiaste en la découvrant à mon poignet et encore plus en voyant le mouvement.
Un immense merci à Fendalton pour la confiance qu’il me témoigne et le kiff total qu’il me permet de prendre
Merci d’autant plus immense que je vous ferai également part de mon sentiment sur la vintage.
Exceptionnelle également, et dans me rêves depuis un bon petit bout de temps…
La proposition était trop belle, est sous l’effet de l’alcool, j’ai été faible. Très faible….
Me voilà donc à la sortie du restaurant avec en poche deux montres d’exception, l’une vintage, l’autre moderne.
Le matin, en ouvrant un œil, je me demande évidement si j’ai rêvé.
Mais non, il y a bien une DB 25 sur ma table de chevet
Oh le faible ! J’ai accepté cette proposition et me voilà donc face à deux possibilités : je fonce au coffre et mets tout ça en sécurité ou je profite.
On est dimanche, la banque est fermée et puis…
Et puis c’est une occasion probablement unique de profiter ce cette montre fabuleuse qui m’a toujours faite rêver.
Je l’ai déjà eu en main plusieurs fois lors de rencontres avec son heureux propriétaire plus que généreux dans cette histoire. Je l’ai même déjà essayée.
Mais c’est quoi 5 minutes à une table de restaurant ? Juste le temps de se rendre compte à quel point c’est beau.
Mais quand c’est beau, on a envie de la voir évoluer au fil des heures, de la lumière, des activités, de sa tenue…
Alors c’est parti pour « on dirait que j’ai une DB 25 »…
Evidement, c’est une montre avec laquelle on se demande sans cesse si elle est trop grande pour un petit poignet.
Tout d’abord, sa taille ne gêne en rien son confort : comme déjà souligné maintes fois, ses cornes très basses et courtes font qu’elle se positionne extrêmement bien et qu’elle ne dépasse pas de mon petit poignet de 16cm.
J’irai même jusqu’à dire que c’est une montre confortable.
Seule réserve à ce stade, je ne l’ai pas encore essayée en chemise. Là, on verra comment ça passe sous la manchette.
Mais de toute façon, ce n’est pas une montre que j’ai spécialement envie de porter « habillé ».
Sport façon Michou, c’est parfait pour moi
Elle est si confortable, qu’on oublierait presque de la quitter
Fendalton, histoire de t’éviter un infarctus, je te rassure tout de suite. Ces photos sont réalisées avec trucage.
Pour ce genre d’activités (très limitées de mon côté au risque d’endommager ma personne, les outils et ce sur quoi je tenterai de bricoler), la montre était sous bonne garde...
Bon là, c’est sans trucage (si si, je remplis le lave vaisselle à la maison. Je le vide même…)
Cette réserve de marche est un bonbon esthétique que l’on voit évoluer tout au long de la journée. Un délice…
Difficile même en un week-end de faire le tour de tous les détails qui se révèlent peu à peu. J’ai hâte de la repasser (mais j’écris ceci avec au poignet une autre montre qui me fait rêver…)
La lumière sur le guillochage change sans cesse, le rehaut et la position de la minutie est fascinant, les index sphères bleuies sont un régal. Ils animent le cadran de façon spectaculaire, la couronne est incroyable, tout comme ces cornes ajourées
Fines. Le plus discrètes possible pour ne pas alourdir un visuel déjà très présent.
Du coup, je reviens ici sur sa taille, mais cette fois d’un point de vue esthétique.
C’est une volonté de la part de ses concepteurs et c’est une ligne directrice chez DB.
C’est sûr, c’est grand et présent. Mais c’est aussi le moyen de profiter pleinement de ce cadran incroyable et de laisser la place pour un moteur d’exception que l’on peut rester longtemps à regarder
Jouer à faire tourner le rotor s’avère aussi être une activité tout à fait ludique…
La nouvelle taille conviendrait cependant mieux à mon petit poignet, c’est certain.
Mais même dans cette taille originelle, c’est une montre extrêmement raffinée et qui transpire la qualité et la bien facture.
Sa taille ne donne donc pas le sentiment d’ostentation. Plutôt celui d’une petite ouvre d’art que l’on porte au poignet et que Mallet-Steven aurait probablement apprécié tant l’architecture de cette DB 25 est fascinante.
C’est une montre superlative. Mais qui sait rester ludique à bien des égards. Le regarde ma fille de 13 ans fut enthousiaste en la découvrant à mon poignet et encore plus en voyant le mouvement.
Un immense merci à Fendalton pour la confiance qu’il me témoigne et le kiff total qu’il me permet de prendre
Merci d’autant plus immense que je vous ferai également part de mon sentiment sur la vintage.
Exceptionnelle également, et dans me rêves depuis un bon petit bout de temps…