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Y'a des jours comme ça ou on a pas de bol. 
Je faisais mes courses, et entre les bacs à légumes et le rayon fromage, sur quoi je tombe:
J'avais mon appareil photo ce jour là comme toujours quand je vais chercher un sac de patates
Bibiche m'attendais à la maison j'ai du faire fissa et du coup les photos sont pas top
Donc deux 1815 moonphase, une platine et une or rose.
Si on les prend à part l'une et l'autre, elles sont à tomber par terre. Deux pures merveilles.
J'avais déjà causé de l'or rose, mais là comme il y a les deux, je refais un sujet, la montre étant amha ce qui s'est fait de mieux en montre simple.
-Proportions
Une petite taille (35.9mm), une épaisseur contenue mais pas ultra palte non plus. Bref LA montre élégante, parfaitement proportionnée. Le boitier de l'or rose est entièrement poli alors que la platine a le droit à un poli brossé.
La couleur de l'or rose tend assez vers le rouge, un or rose assez chaud.
La platine et son poli brossé qui tue
:
(Là y'a eu une mamie qui m'a un peu bousculé avec son cabas au moment ou je prend la photo
)
(Là c'est un groupe de gosse qui se chamaillaient pour conduire le caddie qui passait à côté, j'ai pas pu faire net )
-Le Cadran
Le cadran est un enchantement, un noir profond avec un guillochage circulaire de la petite seconde tout en finesse.
-Je passe sur le calibre. je remet le communiqué de presse de l'époque (Amanico j'ai piqué directement dans tes archives, tu m'en voudras pas
)
-Comparaison
Quand on a les deux côte à côte, c'est la platine qui se distingue légèrement.
Le métal blanc la fait paraître à peine plus grande (c'est de l'effet d'optique bien sûr), bien que plus discrète mon oeil était plus attiré vers elle.
Je ne sais pas si c'est l'effet du poli brossé ou de la fascination de ce modèle, en tout cas elle est fatale.
Difficile de ne pas la regarder avec les yeux de l'amour
Au poignet, la différence de poids est nette, la platine se ressent un peu plus.
Mais c'est pas inconfortable bien au contraire, l'or rose par sa taille étant très légère.
Pour moi LE plus beau modèle de chez Lange.
LA légende avec les emblématiques Lange1 et Datograph. Mais beaucoup plus dure à dénicher.
Les deux versions sont hautement désirables mais la platine a un je ne sais quoi de plus à mes yeux.
Une sorcière ! Complètement fascinante malgré une taille réduite et une grande simplicité.
En montre simple je n'en vois aucune qui puisse rivaliser.
--
J'avais pas retiré assez, du coup je suis passé au rayon charcuterie ou j'ai pris des Weisswurst et un Leber...
Pardon?
vous vous en foutez?
ha bon, désolé
Je faisais mes courses, et entre les bacs à légumes et le rayon fromage, sur quoi je tombe:
J'avais mon appareil photo ce jour là comme toujours quand je vais chercher un sac de patates
Bibiche m'attendais à la maison j'ai du faire fissa et du coup les photos sont pas top
Donc deux 1815 moonphase, une platine et une or rose.
Si on les prend à part l'une et l'autre, elles sont à tomber par terre. Deux pures merveilles.
J'avais déjà causé de l'or rose, mais là comme il y a les deux, je refais un sujet, la montre étant amha ce qui s'est fait de mieux en montre simple.
-Proportions
Une petite taille (35.9mm), une épaisseur contenue mais pas ultra palte non plus. Bref LA montre élégante, parfaitement proportionnée. Le boitier de l'or rose est entièrement poli alors que la platine a le droit à un poli brossé.
La couleur de l'or rose tend assez vers le rouge, un or rose assez chaud.
La platine et son poli brossé qui tue
:(Là y'a eu une mamie qui m'a un peu bousculé avec son cabas au moment ou je prend la photo
)(Là c'est un groupe de gosse qui se chamaillaient pour conduire le caddie qui passait à côté, j'ai pas pu faire net
)-Le Cadran
Le cadran est un enchantement, un noir profond avec un guillochage circulaire de la petite seconde tout en finesse.
-Je passe sur le calibre. je remet le communiqué de presse de l'époque (Amanico j'ai piqué directement dans tes archives, tu m'en voudras pas
)
Bâle, avril 1999
La 1815 PHASES DE LUNE : Une nouvelle lune se lève sur Glashütte
« A. Lange & Söhne » a réussi à intégrer dans une montre-bracelet ce que les maîtres horlogers d'antan ne parvenaient qu'à enfermer dans une monumentale pendule astronomique: des phases de lune conçues pour reproduire l'apparence changeante de l'astre nocturne sur une période de mille ans. La manufacture saxonne dédie sa nouvelle 1815 PHASES DE LUNE à l'un de ses plus illustres fils, Emil Lange, dont elle célèbre cette année le cent cinquantenaire de la naissance.
Une nouvelle lune s'est levée sur ! « A. Lange & Söhne » de Glashütte. La toute nouvelle 1815 PHASES DE LUNE de Lange s’inscrit dans le retour en force de cette indication particulière aujourd'hui très prisée en la portant au niveau de perfection exceptionnel atteint par les seules pendules astronomiques des grands maîtres horlogers du passé. Dans cette montre novatrice, le mécanisme des phases de lune est conçu pour reproduire précisément la révolution synodique (c'est-à-dire les 29 jours, 12 heures, 44 minutes et 3 secondes qui séparent deux pleines lunes successives) sur une période de mille ans.
Cette nouvelle lune consacre le triomphe de la mécanique de précision en pleine ère électronique, et rend ainsi un digne hommage à l'un des célèbres représentants de la dynastie horlogère saxonne: Emil Lange, né il y a 150 ans, second fils du fondateur de la manufacture, Adolph Lange. Emil prit la tête de la manufacture avec son frère Richard en 1875 puis, dès 1887, en assuma seul la direction pour plus de 40 ans. Il aurait aujourd'hui exactement deux fois l'âge de son petit-fils, Walter Lange, fondateur et président de la société Lange.
Sous le règne d'Emil Lange, la manufacture accèda aux plus hautes distinctions internationales et devient célèbre dans le monde entier. Emil, en patriarche bienveillant, perpétua l'engagement social d'Adolph en soutenant activement les jeunes talents horlogers de Glashütte. Titulaire de nombreuses fonctions prestigieuses, il présida notamment plusieurs années le conseil d'administration de la célèbre Académie horlogère allemande (DUS) de Glashütte.
La 1815 PHASES DE LUNE de Lange, chef d'œuvre de l'horlogerie, est produite en une série limitée à 400 exemplaires numérotés, dont 150 en platine et 250 en or rose. Cette merveille de l'horlogerie fine témoigne du respect de la manufacture envers un patrimoine qu'elle s'efforce d'enrichir par la création de nouvelles pièces techniquement dignes des œuvres du passé. Dans les anciennes montres de poche « A. Lange & Söhne », les phases de lune exigeaient encore d'être régulièrement corrigées après quelques années de fonctionnement. Celles de la 1815 PHASES DE LUNE se règlent automatiquement deux fois par jour et n’accuseraient un écart d'un seul jour sur le cycle lunaire réel qu’après 1058 ans (exactement 386.435 jours). S’appuyant sur un calendrier lunaire très précis, livré avec la montre, les phases de lune ne sont pas réglées au jour (comme c'est ordinairement le cas) mais à l'heure près.
Mais les lois du cosmos et l'horlogerie ont toujours eu d'étroites affinités. Au XIXè siècle encore - au moins jusqu'à l'invention du téléphone qui permit à la manufacture « A. Lange & Söhne » de se connecter directement à l'horloge-mère de l'observatoire de Berlin -, les régleurs de Lange déterminaient eux-mêmes l'heure exacte, à la seconde près, en repérant le passage du soleil au zénith à l'aide de divers instruments astronomiques (dont ceux dits précisément "de passage").
A la mécanique céleste rappelle aussi – outre l’indication des phases de lune - une artistique représentation de la constellation la plus connue de notre système solaire: des appliques en or reproduisent sur le cadran les sept étoiles de la Grande Ourse "Ursa Major". A côté de l'étoile double Mizar, à l'endroit où le bras du Grand Chariot fait un coude, on peut ainsi y repérer Alcor (mot arabe signifiant "minuscule cavalier") et, en déterminant sa position dans le ciel, s'exercer - comme le faisaient les Anciens - à mesurer son acuité visuelle.
Les évidentes affinités de la belle horlogerie avec le cosmos s'illustrent encore dans le mouvement, Calibre L943.1, nouvellement développé par Lange, qui parvient à fournir une indication extrêmement précise des phases de la lune en dépit de ses dimensions très réduites: 27,5 mm de diamètre et 3,85 mm de hauteur seulement. La représentation astronomique située dans le quart inférieur gauche du cadran trouve un harmonieux contrepoint dans la petite seconde (avec arrêt) judicieusement positionnée à 4 heures.
Le mouvement à remontage manuel oscille à 21.600 demi-alternances/h et, remonté à fond, dispose d'une réserve de marche de 45 heures. Il présente toutes les caractéristiques des mouvements Lange: une platine trois quarts en maillechort; un coq de balancier gravé à la main, doté de la raquetterie haute précision à col de cygne brevetée par Lange ; un balancier vissé et des rubis sertis dans des chatons en or maintenus par des vis bleuies. Ces magnifiques détails de finition peuvent être admirés à travers le fond transparent en verre saphir.
Cette pièce de collection numérotée est proposée avec un bracelet en croco cousu main et une boucle en platine ou en or rose massif. Un calendrier lunaire très précis est fourni à la livraison.
-Comparaison
Quand on a les deux côte à côte, c'est la platine qui se distingue légèrement.
Le métal blanc la fait paraître à peine plus grande (c'est de l'effet d'optique bien sûr), bien que plus discrète mon oeil était plus attiré vers elle.
Je ne sais pas si c'est l'effet du poli brossé ou de la fascination de ce modèle, en tout cas elle est fatale.
Difficile de ne pas la regarder avec les yeux de l'amour
Au poignet, la différence de poids est nette, la platine se ressent un peu plus.
Mais c'est pas inconfortable bien au contraire, l'or rose par sa taille étant très légère.
Pour moi LE plus beau modèle de chez Lange.
LA légende avec les emblématiques Lange1 et Datograph. Mais beaucoup plus dure à dénicher.
Les deux versions sont hautement désirables mais la platine a un je ne sais quoi de plus à mes yeux.
Une sorcière ! Complètement fascinante malgré une taille réduite et une grande simplicité.
En montre simple je n'en vois aucune qui puisse rivaliser.
--
J'avais pas retiré assez, du coup je suis passé au rayon charcuterie ou j'ai pris des Weisswurst et un Leber...
Pardon?vous vous en foutez?
ha bon, désolé
Dernière édition par cisco le Lun 22 Fév 2010, 17:54, édité 1 fois
