J'ai enfin essayé la DB28, présentée par Ian Skellern, en marge de Bâle.
Pas de surprises. Un match avec Mike Tyson. Je savais que ce serais une claque, c'en fut une.
La DB28, est une évolution, souhaitable à mon gout, de la DBS, dont le boitier "fer à cheval" ne m'avait jamais convaincus comme le reste de la production DB.
C'est en fait, une DBS, avec un boitier de DB26, et un zeste de DW1 dans le cadran.
Ils ont pris le meilleur de trois pièces précédentes, pour le faire évoluer dans un nouvel ensemble, j'aime cette capacité de De Béthune de pouvoir evoluer la gamme, en faisant référence aux pièces précédentes, Panerai le fait très bien en réutilisant subtilement les codes de la production vintage, ici, c'est un peu différent, vu que le référent esthétique direct à 8ans, et que messieurs Zanetta et Flagollet font évoluer subtilement sur ce modèle, et sans apporter de grosse nouveauté dans les codes esthétique de DB, cette montre à un autre mérite, elle les ancre dans un modèle difficilement oubliable...
Coté cadran: Pour la forme 2 petits regrets, j'aurais préféré des aiguilles bleuies, histoire d'avoir un meilleur contraste avec le cadran, et le chemin de fer avec les index "boules", est trop clair par rapport au cadran, le constraste n'étant pas optimum.
Le reste c'est beau. Très beau.
C'est un peu court, j'en ais conscience, mais le travail de folie sur les cotes de genève (et la manière incable dont elle reflète la lumière, elles sont creusés à l'envers du sens usuel), sur le pont polis principal, ou l'ensemble balancier plein silicium (tour platine), lune 3D, laisserait sans voix le plus prolixe des commentateur horloger.
La montre est ultra-légère, tout en titane polis (bonjour le travail, vous remarquerez que le boitier n'est pas complément rond, une complication supplémentaire pour le travail du polisseur, et les cornes doivent être une plaie à polir.
Grace à la forme des cornes mobiles, la montre ne donne pas l'impression, d'être trop légère, comme d'autres, le confort, est total .
En fait à cause de cette esthétique particulière, et de la taille 45mm, l'impression d'avoir un instrument au poignet.
Il faut le dire, ce n'est pas la De Béthune la plus discrète, on est aux antipodes d'une Dufour par exemple, tant conceptuellement qu'esthétiquement, je trouve que ce genre de produit, à la mérite de réconcillier amateur de pièces voyantes et amateurs d'horlogerie de pointe, ce qui est une gageure, l'exercice étant des plus périlleux.
Donc j'ai plutôt aimé cette montre. Elle illustre parfaitement la capacité de De Béthune de tirer le meilleur parti de leurs créations antérieurs, pour les faire évoluer dans le sens de l'excellence et de l'innovation.
Pas de surprises. Un match avec Mike Tyson. Je savais que ce serais une claque, c'en fut une.
La DB28, est une évolution, souhaitable à mon gout, de la DBS, dont le boitier "fer à cheval" ne m'avait jamais convaincus comme le reste de la production DB.
C'est en fait, une DBS, avec un boitier de DB26, et un zeste de DW1 dans le cadran.
Ils ont pris le meilleur de trois pièces précédentes, pour le faire évoluer dans un nouvel ensemble, j'aime cette capacité de De Béthune de pouvoir evoluer la gamme, en faisant référence aux pièces précédentes, Panerai le fait très bien en réutilisant subtilement les codes de la production vintage, ici, c'est un peu différent, vu que le référent esthétique direct à 8ans, et que messieurs Zanetta et Flagollet font évoluer subtilement sur ce modèle, et sans apporter de grosse nouveauté dans les codes esthétique de DB, cette montre à un autre mérite, elle les ancre dans un modèle difficilement oubliable...
Coté cadran: Pour la forme 2 petits regrets, j'aurais préféré des aiguilles bleuies, histoire d'avoir un meilleur contraste avec le cadran, et le chemin de fer avec les index "boules", est trop clair par rapport au cadran, le constraste n'étant pas optimum.
Le reste c'est beau. Très beau.
C'est un peu court, j'en ais conscience, mais le travail de folie sur les cotes de genève (et la manière incable dont elle reflète la lumière, elles sont creusés à l'envers du sens usuel), sur le pont polis principal, ou l'ensemble balancier plein silicium (tour platine), lune 3D, laisserait sans voix le plus prolixe des commentateur horloger.
La montre est ultra-légère, tout en titane polis (bonjour le travail, vous remarquerez que le boitier n'est pas complément rond, une complication supplémentaire pour le travail du polisseur, et les cornes doivent être une plaie à polir.
Grace à la forme des cornes mobiles, la montre ne donne pas l'impression, d'être trop légère, comme d'autres, le confort, est total .
En fait à cause de cette esthétique particulière, et de la taille 45mm, l'impression d'avoir un instrument au poignet.
Il faut le dire, ce n'est pas la De Béthune la plus discrète, on est aux antipodes d'une Dufour par exemple, tant conceptuellement qu'esthétiquement, je trouve que ce genre de produit, à la mérite de réconcillier amateur de pièces voyantes et amateurs d'horlogerie de pointe, ce qui est une gageure, l'exercice étant des plus périlleux.
Donc j'ai plutôt aimé cette montre. Elle illustre parfaitement la capacité de De Béthune de tirer le meilleur parti de leurs créations antérieurs, pour les faire évoluer dans le sens de l'excellence et de l'innovation.