Accueil
Enfin pas si petite que ça, elle a un bon 42mm de diamètre.
Je souhaitais depuis longtemps succomber à une montre d'"indépendant". Car cela me semblait une évolution logique dans ma collection. La question était donc de savoir laquelle.
Et puis l'opportunité s'est présentée par hasard en début d'année, pendant le SIHH. Lors de la présentation au 4 Seasons, je fus très surpris de découvrir la DB10 Réédition. Surpris car ce n'est pas une montre que l'on attendait d'eux, tournée en partie vers le passé alors que la marque est connue pour être un laboratoire d'idées (un vrai celui-là) permanent.
Et la voyant, je fus immédiatement surpris par la beauté de son cadran, de son boîtier et de son mouvement.
Par rapport à la première DB10, nous avons deux différences majeures:
- l'affichage de la date par une petite aiguille rendant le cadran plus complexe
- et surtout un mouvement maison alors que la DB10 d'origine utilisait un mouvement Schild revu et corrigé par Denis Flageollet.
Le mouvement de la DB10 réédition est très spécial. C'est une sorte de synthèse entre un hommage à l'horlogerie traditionnelle (regardez le régulateur à colimaçon) et la présentation très technique typique de la marque. Si les brevets de la marque ne sont pas repris, nous retrouvons en revanche les caractéristiques habituelles: double-barillet, réserve de marche de 6 jours, 4hz.
La finition du cadran est superbe (les chiffres sont peints avec plusieurs couches, différents type de guillochage) et le cadran à cornes coniques est particulier et donne beaucoup de caractère à la montre.
LA DB10 est une montre de grande élégance mais qui ne succombe pas dans un côté très formel grâce à sa dose d'originalité. Mais le plus surprenant, c'est le contraste entre la présentation du cadran et celle du mouvement.
Mon choix s'est porté sur la version en or rose de cette série limitée (20 or rose, 20 or gris, 10 platine). C'était pour moi une opportunité à ne pas rater d'acquérir une De Bethune dans un segment de prix encore accessible...
Le proto vu à Genève pendant le SIHH:
La montre à mon poignet:
Quelques photos prises rapidement:
J'ai pris la dernière du lot, je trouvais sympa d'avoir la dernière du lot!
La beauté du cadran:
Voilà une belle façon d'aborder la rentrée!
Je souhaitais depuis longtemps succomber à une montre d'"indépendant". Car cela me semblait une évolution logique dans ma collection. La question était donc de savoir laquelle.
Et puis l'opportunité s'est présentée par hasard en début d'année, pendant le SIHH. Lors de la présentation au 4 Seasons, je fus très surpris de découvrir la DB10 Réédition. Surpris car ce n'est pas une montre que l'on attendait d'eux, tournée en partie vers le passé alors que la marque est connue pour être un laboratoire d'idées (un vrai celui-là) permanent.
Et la voyant, je fus immédiatement surpris par la beauté de son cadran, de son boîtier et de son mouvement.
Par rapport à la première DB10, nous avons deux différences majeures:
- l'affichage de la date par une petite aiguille rendant le cadran plus complexe
- et surtout un mouvement maison alors que la DB10 d'origine utilisait un mouvement Schild revu et corrigé par Denis Flageollet.
Le mouvement de la DB10 réédition est très spécial. C'est une sorte de synthèse entre un hommage à l'horlogerie traditionnelle (regardez le régulateur à colimaçon) et la présentation très technique typique de la marque. Si les brevets de la marque ne sont pas repris, nous retrouvons en revanche les caractéristiques habituelles: double-barillet, réserve de marche de 6 jours, 4hz.
La finition du cadran est superbe (les chiffres sont peints avec plusieurs couches, différents type de guillochage) et le cadran à cornes coniques est particulier et donne beaucoup de caractère à la montre.
LA DB10 est une montre de grande élégance mais qui ne succombe pas dans un côté très formel grâce à sa dose d'originalité. Mais le plus surprenant, c'est le contraste entre la présentation du cadran et celle du mouvement.
Mon choix s'est porté sur la version en or rose de cette série limitée (20 or rose, 20 or gris, 10 platine). C'était pour moi une opportunité à ne pas rater d'acquérir une De Bethune dans un segment de prix encore accessible...
Le proto vu à Genève pendant le SIHH:
La montre à mon poignet:
Quelques photos prises rapidement:
J'ai pris la dernière du lot, je trouvais sympa d'avoir la dernière du lot!
La beauté du cadran:
Voilà une belle façon d'aborder la rentrée!
)
