Revue Universal Geneve Polerouter Sub boite asymétrique

Une revue de qualité ... qui prouve qu'en collection UG est une marque qui ne s'improvise pas... mais peut se laisser apprivoiser par ceux qui en dénichent les clés

En tout cas merci, rien de mieux pour bien débuter la journée !

<:i

Bravo Laurent pour cette très belle revue !

Comment ne pas résister après...

Enjoy !

Revue splendide comme d'habitude. le sujet Universal Genève est toujours passionnant (et "rocailleux" ^^ ).
Une plongeuse avec un bien joli mouvement ca n'est jamais courant.
Encore un cadran passionant comme tu sais si bien les souligner, la typo typique est intéressante, quelque chose auquel on ne prête pas toujours attention , les indexs, les "red quarter" etc
Le paralléle avec la Space Compax est évident et la photo des trois ne me laisse pas insensible .

Une montre c'est un ensemble et là à tout niveau c'est top, le mouvement, le boitier et ce cadran, tout est bourré de charme. Une revue extrêmement plaisante qui met en valeur la beauté totale de la pièce, merci Lolo

Magnifique Laurent, quel bonheur!

Matt

Merci pour cette belle revue.

Fan de la polerouter de longue date (une de mes premières montres 'de collection' il y a 15 ans), je ne peux qu'approuver ce choix.

Ces Sub asymétriques en sont les modèles les plus aboutis, et ont une personnalité propre qui me les fait presque préférer à la 'star' supercompressor

Sur le bracelet idoine (GF avec l'extension de plongée intégrée - il me semble avant son adoption par Rolex, à vérifier):

Merci Laurent pour ce travail d'excellente qualité, un vrai plaisir ces UG

Merci à toi Laurent pour cette revue complète que nous étions plusieurs à attendre avec impatience et qui sait comme toujours mettre en valeur le garde-temps et nous raconter une belle histoire.

Ce duo magique de polerouteur sub est effectivement un aboutissement de collectionneur.

Merci également pour cette dédicace amicale ...

"et puisqu'on ne peut toutes les gardées, le premier exemplaire est depuis parti rejoindre un autre poignet enthousiaste, je sais qu'il est largement apprécié, une transmission amicale et heureuse, les meilleures"

...mais surtout pour m'avoir laisser le plaisir d'acquérir cet exemplaire "primitif" et son style art déco qui me bouleverse et dont la filiation, pour les aiguilles, avec la Rolex 1019 me fait chaque jour l'apprécier de plus en plus.


Il me semblait normal de lui rendre un hommage appuyé en complétant son acquisition d'un full set (boîte et papiers d'époque) ce que j'ai pu faire récemment et qui ma permit de faire cette photo




Keep the faith

Superbe revue ! Complète et bien documentée.

Noodia a écrit:Cette revue est dédiée à l'ami Alain...

Il est clair que le monde des UG et notamment des Polerouter est complexe et mal documenté.
Je suis en phase sur l'ordre de sortie des modèles mais il est clair que la production a été complexe et il est même assez difficile de dater avec précision la sortie des différents exemplaires.

Ma version est légèrement différente puisqu'on y retrouve la rare lunette de la seconde version et les aiguilles (non colorées) de la première version. Certainement, un exemplaire de transition avec son calibre 1-69. Cet exemplaire est resté longtemps dans un fond de collection et mon vendeur est certain de son totale originalité.



Ici en compagnie de sa petite soeur, la version supercompressor :



Ces Polerouter Sub sont super attachantes évidemment. Mais ce qui surprend le plus, c'est leur modernité qui en fait des montres qui pourraient être produites de nos jours !

Laurent, encore une fois tu nous régales avec cette revue exemplaire de modèles qui le sont tout autant.

Difficile de résister à ce duo (trio!)

Alex.

Merci encore une fois pour cette superbe revue.
Des 3 je préfère la version 2 de la 3 aiguilles, plus moderne en effet et colorée

Par contre, je suis surpris quand tu dis que la première Polerouter Sub (compressor) est arrêtée au bout de qques années (en tout cas avant 1970...), il me semblait qu'elle était encore produite au début des années 70... peut être à tort...

Laurent, quel plaisir à lire tes revues.

Le plaisir d'être initié : à la fois instruit par tes documentations et ta démarche rigoureuse et séduit par tes photos toujours belles et tes textes passionnés.

Merci <:i

Merci Laurent, à cause de toi, encore une montre qui va devenir de plus en plus recherchée

Elles sont très sympas ces deux versions différentes et avec une gueule si particulière qui les différencie des montres de la même époque, c'est à ça qu'on reconnait les UG, quelques ovnis au milieu d'une multitude de montres parfois banales (comme ma polerouter) mais avec ce mouvement si spécifique à la marque

LuDi a écrit:Une revue de qualité ... qui prouve qu'en collection UG est une marque qui ne s'improvise pas... mais peut se laisser apprivoiser par ceux qui en dénichent les clés

En tout cas merci, rien de mieux pour bien débuter la journée !

<:i

Merci Fred,

UG est effectivement une manuf assez difficile à appréhender peut être surtout pour ses productions tardives (60/70) car aucun ouvrage ne leur a été consacré, peu de revues complètes, sont disponibles sur le Net, ...

Mais la qualité de ces productions méritent l'effort à y consacrer

christo a écrit:Bravo Laurent pour cette très belle revue !

Comment ne pas résister après...

Enjoy !

Merci Christophe, un essai à la prochaine rencontre ?

cisco a écrit:Revue splendide comme d'habitude. le sujet Universal Genève est toujours passionnant (et "rocailleux" ^^ ).
Une plongeuse avec un bien joli mouvement ca n'est jamais courant.
Encore un cadran passionant comme tu sais si bien les souligner, la typo typique est intéressante, quelque chose auquel on ne prête pas toujours attention , les indexs, les "red quarter" etc
Le paralléle avec la Space Compax est évident et la photo des trois ne me laisse pas insensible .

Une montre c'est un ensemble et là à tout niveau c'est top, le mouvement, le boitier et ce cadran, tout est bourré de charme. Une revue extrêmement plaisante qui met en valeur la beauté totale de la pièce, merci Lolo

Merci François,

J'aime bien le terme de "Rocailleux" pour UG, il me semble particulièrement bien adapté
Uns fois encore, tu as parfaitement synthétisé les attraits essentiels de ces montres, y compris ceux de leurs calibres dont on parle pas si souvent...

MattS a écrit:Magnifique Laurent, quel bonheur!

Matt

Merci Matt

cda a écrit:
Ces Sub asymétriques en sont les modèles les plus aboutis, et ont une personnalité propre qui me les fait presque préférer à la 'star' supercompressor

Sur le bracelet idoine (GF avec l'extension de plongée intégrée - il me semble avant son adoption par Rolex, à vérifier):

Spoiler:

Merci CDA !

La Sub super-compressor est effectivement la star de la série,
je serais très intéressé de mieux comprendre ton sentiment sur le fait que ces séries asymétriques sont plus abouties

Le bracelet intègre une extension ? Je n'avais pas remarqué, il reste à mon sens la plus belle configuration pour ces montres car ce Gay Freres là est particulièrement beau



mais ils sont devenus extrêmement rares et le peu d'exemplaires qui apparaissent parfois s'arrachent désormais à prix d'or

jef33 a écrit:Merci Laurent pour ce travail d'excellente qualité, un vrai plaisir ces UG

Merci Jef !

djayrom a écrit:

Spoiler:

Il me semblait normal de lui rendre un hommage appuyé en complétant son acquisition d'un full set (boîte et papiers d'époque) ce que j'ai pu faire récemment et qui ma permit de faire cette photo




Keep the faith

Merci Jérôme pour ton commentaire et cette superbe photo !

je constate que tes progrès en qualité de photos avancent aussi vite que ta collec !

alain2701 a écrit:Superbe revue ! Complète et bien documentée.

Noodia a écrit:Cette revue est dédiée à l'ami Alain...

Il est clair que le monde des UG et notamment des Polerouter est complexe et mal documenté.
Je suis en phase sur l'ordre de sortie des modèles mais il est clair que la production a été complexe et il est même assez difficile de dater avec précision la sortie des différents exemplaires.

Ma version est légèrement différente puisqu'on y retrouve la rare lunette de la seconde version et les aiguilles (non colorées) de la première version. Certainement, un exemplaire de transition avec son calibre 1-69. Cet exemplaire est resté longtemps dans un fond de collection et mon vendeur est certain de son totale originalité.

Spoiler:

Ces Polerouter Sub sont super attachantes évidemment. Mais ce qui surprend le plus, c'est leur modernité qui en fait des montres qui pourraient être produites de nos jours !

Merci Alain,

modèle de transition je ne sais pas, mais production inconsistante ça c'est sur et partant de là, impossible d'être affirmatif avec telle conformité ou non conformité éventuelle

Les brochures de ce revendeur japonais permettent seulement de confirmer que ces configurations particulières ont bel et bien existé mais ne démontrent pas que ces configs soient les seules légitimes, comme bien souvent chez UG

Ton exemplaire est très beau

Je ne peux qu'approuver ton sentiment sur la modernité étonnante de ces montres, y compris leur diamètre

Xelaxela a écrit:Laurent, encore une fois tu nous régales avec cette revue exemplaire de modèles qui le sont tout autant.

Difficile de résister à ce duo (trio!)

Alex.

Merci Alex !

gautier a écrit:Merci encore une fois pour cette superbe revue.
Des 3 je préfère la version 2 de la 3 aiguilles, plus moderne en effet et colorée

Par contre, je suis surpris quand tu dis que la première Polerouter Sub (compressor) est arrêtée au bout de qques années (en tout cas avant 1970...), il me semblait qu'elle était encore produite au début des années 70... peut être à tort...

Merci Gautier,

j'avoue être peu surpris par ton choix
j'en avais pour ma part une de trop et le choix du départ ne s'est fait que sur la base des complémentarités des présentations de cadrans

ayant déja le Space Compax en "configuration classique" avec son 12 art déco, le modèle de la Sub faisant la part belle à la matière lumineuse s'est imposé

Si j'avais eu l'autre version de Space Compax, j'aurais fait l'inverse



comme quoi chez UG, certaines incohérences de configurations cohabitent aussi avec de une certaine cohérence de gamme, juste pour ajouter encore un peu plus de piment à la quête

Pour l'arrêt de la de la production des modèles super-compressor, je n'ai aucune idée de la date/période d'arrêt de sa production.
Je connais finalement assez peu ces exemplaires là, je crois qu'ils sont très complexes d'après ce que j'ai pu lire en terme de variantes diverses.
Pour ce modèle, énormément de franken watch se baladent ici et là, une montre qui nécessite un très gros travail de documentation et de vérification avant de réaliser une acquisition sérieuse qui se ferait à un budget désormais important

8ball a écrit:Laurent, quel plaisir à lire tes revues.

Le plaisir d'être initié : à la fois instruit par tes documentations et ta démarche rigoureuse et séduit par tes photos toujours belles et tes textes passionnés.

Merci <:i

Merci 8Ball !

Saniloc a écrit:Merci Laurent, à cause de toi, encore une montre qui va devenir de plus en plus recherchée

Elles sont très sympas ces deux versions différentes et avec une gueule si particulière qui les différencie des montres de la même époque, c'est à ça qu'on reconnait les UG, quelques ovnis au milieu d'une multitude de montres parfois banales (comme ma polerouter) mais avec ce mouvement si spécifique à la marque

Merci Nicolas,

une belle synthèse des caractéristiques qui m'ont motivées à collectionner UG, des montres différentes avec de beaux calibres manufs.
J'y reviendrai dans quelques temps pour développer plus largement ces caractéristiques et ma compréhension de leurs origines historiques

Merci Noodia,

J'ai une fois de plus beaucoup appris et je me suis bien régalé. Ta revue pose des jalons importants pour le néophyte que je suis tout comme pour les collectionneurs chevronnés.
J' admire ta sage détermination à ne te cantoner qu'aux montres documentées. Cela represente néanmoins un travail consequent.
Quel dommage qu'il soit si peu paru sur ces montres magnifiques. C'est vraiment là, il me semble que le bâs blesse le plus. Rechercher, dénicher et vérifier les bonnes montres demande un véritable travail de détective voire de spéléologue. Ce manque de publication entraîne, comme tu l'écris, les marchands les moins scrupuleux à composer des Franken watches. Quel dommage.
Merci aussi pour les rapprochements et comparaisons que tu fais ci et la avec d'autres modèles au gré de ta revue. Un véritable régal!
Sur un bemol, je suis surpris de lire que tu t'es défait de l'une des pièces que tu semblais apprécier tellement.
C'est là sans aucun doute un signe remarquable d'amitié entre collectionneurs passionnés.

Best
Z'

Merci Z' pour tes commentaire,

pour ce qui est de l'approche rigoriste consistant à se cantonner aux modèles documentés c'est un réflexe génétique issu d'un autre hobby qui me tient depuis fort longtemps

il ressemble effectivement à ça



mais aussi parfois à ça...



une démarche adaptée pour le collectionneur de Heuer vintage, ce dernier étant surement l'un des plus gâtés qui soit grâce au très gros travail de publication de brochures, catalogues, photos d'époque mais aussi à la formidable tradition de support aux collectionneurs sous les bannières de communautés telles que OnTheDash, IVHOC et autres enthousiastes de la marque

je crois que les collectionneurs Rolex sont aussi très gâtés, c'est juste beaucoup plus de boulot compte tenu de la de la densité et de la complexité importante des productions de la marque, il y en a surement d'autres

mais c'est une démarche qui atteint ses limites ce que j'ai d'abord réalisé en abordant UG il y a quelques années et qui se confirme en essayant de découvrir de nouvelles "saveurs chronographiques"

elle peut aussi avoir une tendance à nous faire virer vers des tendances "ayatolesques" alors que chacun sait que l'histoire des vintage est rarement "blanc/bleu"...
je ne parle pas des déconvenues lorsque l'on pense avoir enfin trouvé la Graal tant convoité et que finalement un élément ne colle pas, laissant immanquablement l'objet chez son vendeur voire lui renvoyer, une démarche cruelle...

Au final, la meilleure méthode selon moi est surement de passer en revue encore et encore les ressources disponibles sur tous types de supports, permettant à un certain moment de pouvoir appréhender et finalement de s'approprier un certain sentiment de cohérence esthétique et mécaniques propre à à chaque manuf et à chaque époque

C'est aussi de manipuler des pièces, de rencontrer leurs propriétaires avertis et de les écouter

c'est enfin - lorsque l'on pense avoir cerné au moins une partie du sujet - de le partager

pour illustrer le sujet,

Je m'étonne que personne n'ait soulevé la question des capacités techniques d'étanchéité de ces montres...

je ne me suis pas exprimé car je n'ai jamais rien lu sur le sujet et c'est bien dommage car je n'imagine pas pas que ces capacités soient négligeables compte tenu de la technicité des boîtiers supercompressor des générations précédentes

je n'ai finalement pas encore percé tous les mystères de ces montres,

mais le mystère ne fait-il pas partie de l'enchantement de la collection vintage ?

Merci encore à tous pour vos commentaires

Laurent, superbe revue
toujours aussi passionnante et enrichissante à lire

J'ai une p'tite préférence pour la seconde version dont les touches de couleur lui apportent un poil de gaieté

Mais je m'en ferai bien mon 4 heures