Je reviens pour dire ce que pour ma part, je sais sur ce genre d’échappement
En échappements mécaniques, pour avoir une impulsion directe à chaque alternance (déplacement du balancier d’une position extrême à l’autre position extrême, alors que l’oscillation correspond à 2 alternances, soit départ et retour du balancier à sa position), il faut obligatoirement 2 roues qui engrènent l'une avec l’autre donc qui tournent à l’inverse l’une de l’autre
En échappement libre (car la disposition existe aussi dans les échappements à recul et à repos) il me semble que c’est Breguet qui le premier réalisa ce genre de disposition vers 1800 avec sont échappement qu’il nomma « naturel »
Voici une vue des premiers échappements à recul (courant XVIIIe siècle) et à repos (fin XIXe siècle) et de l’échappement naturel de Breguet(vers 1800)
Ensuite voici une série de vue du fonctionnement de l’échappement de la Freak
Tous ces échappements fonctionnent de la même façons tout comme celui qui vient de sortir soit, impulsion directe à chaque alternance
En échappements mécaniques, pour avoir une impulsion directe à chaque alternance (déplacement du balancier d’une position extrême à l’autre position extrême, alors que l’oscillation correspond à 2 alternances, soit départ et retour du balancier à sa position), il faut obligatoirement 2 roues qui engrènent l'une avec l’autre donc qui tournent à l’inverse l’une de l’autre
En échappement libre (car la disposition existe aussi dans les échappements à recul et à repos) il me semble que c’est Breguet qui le premier réalisa ce genre de disposition vers 1800 avec sont échappement qu’il nomma « naturel »
Voici une vue des premiers échappements à recul (courant XVIIIe siècle) et à repos (fin XIXe siècle) et de l’échappement naturel de Breguet(vers 1800)
Ensuite voici une série de vue du fonctionnement de l’échappement de la Freak
Tous ces échappements fonctionnent de la même façons tout comme celui qui vient de sortir soit, impulsion directe à chaque alternance