Serez-vous capable de deviner ce qui distingue ce chronomètre Omega de 1948
de ce chronomètre Omega de 1953 ? mis à part la position de la seconde, évidemment...
Dans les 2 cas, nous avons bien affaire à un chronomètre automatique à bumper.
Un indice ?
Regardons plus en détail leurs certificats de marche respectifs.
1948 :
1953 :
Vous avez trouvé ?! Bravo !
Le chronomètre de 48 a passé ses tests d'examen dans les ateliers d'Omega alors que celui de 53 les a passés au bureau officiel de Bienne !
Un détail qui n'en est plus un depuis 1951 et le changement des conditions d’appellation.
Avant 1951, un chronomètre se définissait comme une montre suffisamment précise pour pouvoir passer avec succès les tests officiels de chronométrie. Un chronomètre devait donc prouver qu'il était capable d'obtenir un certificat officiel. Pour des raisons pratiques, les marques horlogères choisirent d'utiliser leurs bans de tests en interne pour la certification de la plupart de leurs chronomètres. Toutes ?
Non ! Dès les années 30, Rolex décide de privilégier les tests réalisés par les bureaux officiels et fait de cette différence un point essentiel de sa communication.
Année 30 :
Fin des années 40 :
En 1951, la Fédération Horlogère finit par se ranger à la position défendue par Rolex depuis longtemps. L'appellation "chronomètre" devient réservée à une montre précise, réglée pour différentes positions et températures et ayant obtenu un certificat officiel.
Comme l'indique le graphique ci-dessous, l'année 1952 est marquée par une augmentation spectaculaire du nombre de chronomètres hors Rolex. Mais Rolex garde la majorité absolue du nombre total de chronomètres produits, tout comme l'année suivante en 1953.
légende :
abscisse : année
ordonnée : nombre de chronomètres certifiés (en milliers)
courbe noire : nombre de chronomètres Rolex certifiés
courbe blanche : nombre de chronomètres certifiés, toutes marques confondues sauf Rolex
Un dernier succès sur lequel rolex ne se privera pas de communiquer !
de ce chronomètre Omega de 1953 ? mis à part la position de la seconde, évidemment...
Dans les 2 cas, nous avons bien affaire à un chronomètre automatique à bumper.
Un indice ?
Regardons plus en détail leurs certificats de marche respectifs.
1948 :
1953 :
Vous avez trouvé ?! Bravo !
Le chronomètre de 48 a passé ses tests d'examen dans les ateliers d'Omega alors que celui de 53 les a passés au bureau officiel de Bienne !
Un détail qui n'en est plus un depuis 1951 et le changement des conditions d’appellation.
Avant 1951, un chronomètre se définissait comme une montre suffisamment précise pour pouvoir passer avec succès les tests officiels de chronométrie. Un chronomètre devait donc prouver qu'il était capable d'obtenir un certificat officiel. Pour des raisons pratiques, les marques horlogères choisirent d'utiliser leurs bans de tests en interne pour la certification de la plupart de leurs chronomètres. Toutes ?
Non ! Dès les années 30, Rolex décide de privilégier les tests réalisés par les bureaux officiels et fait de cette différence un point essentiel de sa communication.
Année 30 :
Fin des années 40 :
En 1951, la Fédération Horlogère finit par se ranger à la position défendue par Rolex depuis longtemps. L'appellation "chronomètre" devient réservée à une montre précise, réglée pour différentes positions et températures et ayant obtenu un certificat officiel.
Comme l'indique le graphique ci-dessous, l'année 1952 est marquée par une augmentation spectaculaire du nombre de chronomètres hors Rolex. Mais Rolex garde la majorité absolue du nombre total de chronomètres produits, tout comme l'année suivante en 1953.
légende :
abscisse : année
ordonnée : nombre de chronomètres certifiés (en milliers)
courbe noire : nombre de chronomètres Rolex certifiés
courbe blanche : nombre de chronomètres certifiés, toutes marques confondues sauf Rolex
Un dernier succès sur lequel rolex ne se privera pas de communiquer !