Et on en parle ici, j'espère que vous apprécierez !
Bonne lecture
Caius a écrit:Superbe revue l'ami
Pour moi, c'est la référence acier en Nautilus moderne. Elle rajoute ce qu'il manque à la 11 qui est pour moi trop triste par rapport à la RO jumbo.
Si j'avais les tunes, je prends une RO simple et cette superbe Nautilus compliquée.
Enjoy
Merci Douglas ! Je te rejoins, c'est effectivement celle qui m'a donné l'impression d'avoir tout ce qu'il fallait sans avoir à faire de compromis au regard de mes critères, d'où le plaisir que j'en tire actuellementCaius a écrit:Superbe revue l'ami Pour moi, c'est la référence acier en Nautilus moderne.
Merci ... et y'a plus qu'àNeo[blue] a écrit:pas mieux, j'renfloue et je prends une RO
Ce fut un plaisir et merci à toi !sarsipius a écrit:merci beaucoup pour cette revue et encore félicitations
cette montre va me faire rêver encore pendant longtemps !
Merci Léo, je vois qu'on a là de nombreux points communs et comme toi j'avais effectivement le meme doute sur l'agencement du cadran, doute qui a disparu lors de l'essai , et cette revue fut un plaisir à partager sur MM.leo a écrit:Superbe revue d' une non moins superbe montre qui est pour moi la quintessence de la montre sport / chic ! J ' apprécie beaucoup sa finesse aérienne, son calibre raffiné, son cadran aux reflets changeants et au bordel organisé.
En résumé, un modèle parfait pour un port quotidien . Merci pour le partage et cette somme de travail que doit représenter la confection d' une telle revue. Au passage quelle belle qualité des photos !
Merci ! J'ai essayé effectivement de souligner certains aspects, la Nautilus ne faisant pas toujours l'unanimité. Heureux de lire que cela t'a plufenndalton a écrit:Merci pour cette jolie revue.
Un modèle qui, au départ, ne m'attire pas, mais dont tu arrives à faire ressortir "les" qualités. Le savoir faire et faire savoir de Patek sont ici très bien mis en valeur par de belles photos, un poil d'explication "technique", et un cheminement personnel pour ce modèle particulier de la marque. Bravo et merci <:i
Merci P@trice j'imagine qu'on a souvent l'opportunité de voir que d'autres se posent les mêmes questions et sont sensibles aux mêmes attraits. Et comme tu le soulignes souhaitons que ça ne s'arrête jamais !p@trice a écrit:Merci Mark pour cette superbe revue ! J'apprécie également ton cheminement, un parcours qui ne m'est pas étranger, j'ai aussi eu quelques révélations ... La dernière en date étant le boitier de la Monaco vintage, 1133 ou 1533, le principal c'est qu'elles soient automatiques
Pour en revenir à la 5712, c'est une pièce majeure, un dial particulièrement bien équilibré,une des montres les plus confortables du marché bref, un choix terriblement judicieux, toutes mes félicitations Mark <:i
Merci AlexAlexG a écrit:magnifique revue...et montre :-)
Merci pour ton message Florent, j'ai encore en mémoire notre dernière (décisive) rencontre et ta fabuleuse 5711. Cette dernière garde une place à part, par sa pureté accentuée en "mode" 3 aiguilles. Je dois dire que le fait que mon attirance pour elle n'ait pas perdu de sa vigueur depuis son achat est un signe fort de la place que prendra cette montre pour moi. L'essai ce sera avec plaisir on fera l'echange !FGB a écrit:Merci Mark pour cette très belle revue (belles photos et texte intéressant) et félicitations.
T’es du genre rapide !
Mais il y a fort à parier qu’elle passera beaucoup de temps à ton poignet tant c’est une montre agréable et confortable en toutes circonstances.
J’avais beaucoup hésité entre la 5711 et la 5712 en raison du 240.
J’ai finalement assouvi cette envie de micro rotor différemment.
Même si j’ai une préférence pour le cadran épuré de la 5711, j’avoue que celui que tu nous présentes ici à de quoi faire réfléchir. Ce mélange de sportivité et de complication, d’apparent désordre et d’équilibre, est terriblement séduisant et fait que je me pose encore parfois la question…
La prochaine fois, je te fais essayer la Jumbo !
Merci Pierrepierre37 a écrit:Très belle revue et montre superbe !!!
Merci beaucoup
Merci Alain, effectivement la voir en vrai vaut son pesant de cacahuètes. Le mouvement mais aussi ce cadran qui parait un peu fouillis au 1er regard. C'est finalement un tout très homogène et dont les reflets y participent pour beaucoupalain2701 a écrit:Une magnifique revue ...
Parmi les Nautilus, celle ci m'a toujours emballé. J'adore tout simplement l'agencement du cadran et ce calibre à micro-rotor.
Mon essai de l'époque m'avait enchanté ... Bravo pour cette merveilleuse acquisition
Merci à toi La Nautilus est effectivement quelquechose qu'on adore ou qui nous laisse indifférent. Pour ma part c'est encore tout chaud !Karupat a écrit:Superbe revue, merci beaucoup! Le dessin de la Nautilus ne m'émeut toujours pas, ce qui n'enlève rien aux qualités intrinsèques de cette superbe montre que tu as su mettre en valeur... rien que pour le 240...
Et je me régale des revues comme la tienne qui expliquent entre autre le "pourquoi".
Je ne sais pas ce que tu entends par "seconde indépendante" exactement mais s'il s'agit d'une aiguille qui s'arrête lorsqu'on tire la couronne, ce n'est pas un mécanisme qui équipe ce mouvement.sarsipius a écrit:je remonte le sujet parce que j'ai lu ailleurs sur le net que ce mouvement dispose d'une seconde indépendante mais je n'arrive pas à trouver plus de détail
vous auriez quelques infos pour comprendre la différence avec une seconde "normale" et ce que ça implique ?
Merci DustB, Oui c'est une montre qui gagne indéniablement à être connue.DustB a écrit:Merci d'avoir remonté ce sujet, je découvre cette version de la Nautilus , elle est tout simplement hallucinante ! Et quelle revue, bravo !!!
sarsipius a écrit:effectivement je ne parlais pas du stop seconde qui se retrouve sur 2 ou 3 modèles chez Patek
je ne retrouve plus le lien où je l'ai lu
je vais essayer de remettre la main dessus
MONTRES À SECONDE MORTE ET MONTRES À SECONDE INDÉPENDANTE
Lorsque la trotteuse des secondes est introduite sur les montres de poche au cours de la deuxième moitié du XVllle siècle, les horlogers cherchent un dispositif permettant de l'immobiliser. Dans un premier temps, la solution consiste à arrêter le mouvement comme en témoigne la montre à seconde morte (1754) de ROMILLY décrite dans l'Encyclopédie de DIDEROT et munie d'une aiguille centrale faisant un saut par seconde.
En 1776, l'horloger genevois Jean Moïse POUZAIT dépose à la Société des Arts de Genève un mémoire décrivant le principe d'une montre à seconde morte indépendante. Dotée d'un deuxième corps de rouage, la trotteuse peut être enclenchée et stoppée à volonté sans perturber la marche du mouvement. Ce type de montres, l'un des précurseurs du chronographe, est très proche des calibres à seconde foudroyante qui divisent la seconde en quatre ou cinq fractions.
Toutefois il oblige encore à noter le début de la mesure et à faire un calcul, la trotteuse ne pouvant être ramenée à zéro.
Oui, cette "astuce" fonctionne et c'est ce qu'il y a de mieux pour la mettre à l'heure en s'aidant, par exemple, du site de l'horloge parlante.Alfred a écrit:
Par contre j'ai cru lire qu'en tournant la couronne, en position réglage, dans le sens contraire, l'aiguille des secondes s'arrêtait. Je n'ai pas testé personnellement.
Merci pour cette info Sarsipius, j'en profiterais pour poser la question chez Patek un de ces 4.sarsipius a écrit:je n'ai pas retrouvé la source mais je viens de lire une explication sur la seconde indépendante qui explique que l'aiguille des secondes peut être arrêtée sans que le mouvement ne s'arrête complètement
ça se recoupe avec les informations fournies par Alfred un peu plus haut
MONTRES À SECONDE MORTE ET MONTRES À SECONDE INDÉPENDANTE
Lorsque la trotteuse des secondes est introduite sur les montres de poche au cours de la deuxième moitié du XVllle siècle, les horlogers cherchent un dispositif permettant de l'immobiliser. Dans un premier temps, la solution consiste à arrêter le mouvement comme en témoigne la montre à seconde morte (1754) de ROMILLY décrite dans l'Encyclopédie de DIDEROT et munie d'une aiguille centrale faisant un saut par seconde.
En 1776, l'horloger genevois Jean Moïse POUZAIT dépose à la Société des Arts de Genève un mémoire décrivant le principe d'une montre à seconde morte indépendante. Dotée d'un deuxième corps de rouage, la trotteuse peut être enclenchée et stoppée à volonté sans perturber la marche du mouvement. Ce type de montres, l'un des précurseurs du chronographe, est très proche des calibres à seconde foudroyante qui divisent la seconde en quatre ou cinq fractions.
Toutefois il oblige encore à noter le début de la mesure et à faire un calcul, la trotteuse ne pouvant être ramenée à zéro.
Merci Ed, ça me sera utile !ed2007 a écrit:Oui, cette "astuce" fonctionne et c'est ce qu'il y a de mieux pour la mettre à l'heure en s'aidant, par exemple, du site de l'horloge parlante.
Merci Chycro, je comprends parfaitement ton attirance pour la Nautilus 3 aiguilles, elles sont vraiment d'une philosophie différente toutes autant désirables.chycro34 a écrit:Magnifiques photos! Je partage ton sentiment...la magie de la Nautilus n'opère que le jour où on la porte.
J'ai moi-même la chance de porter une 3800....mais je ne sais pas si j'éprouverais la même magie avec cette bien plus prestigieuse 5712/1A? En effet, j'affectionne tout particulierement les cadrans les plus simples/purs sans complications...mais là encore, il faudrait que j'ai l'opportunité de porter cette 5712/1A pour me forger ma propre idée!
Lors d'une prochaine étape peut-être...