Voici les photos prises lors de ma visite de Vacheron-Constantin dans la zone industrielle de Plan-Les-Ouates à Genève, en avril 2012. J'y ai été invité par mon AD strasbourgeois avec quelques autres clients privilégiés.
En résumé, Vacheron-Constantin, c'est une histoire ininterrompue depuis 1755, 18 000 montres/an, 2000 salariés.
A ma grande surprise, Richemont a mis notre disposition son jet. Du coup, Strasbourg - Genève ne prend que 25 minutes.
On y prend vite gout.
Survol du lac Léman à l'arrivée.
Les locaux sont ultramodernes.
Réalisation des côtes de Genève.
La spécialité de la maison : les métiers d'art (gravure, émaillage, sertissage, guillochage).
Côté production, VC fabrique entièrement environ 80 % de ses calibres (les 20 % restant sont basés sur des ébauches externes). Tout le reste, est sous-traité (boitiers, cadrans hors métiers d'art, aiguilles, bracelet, etc...). D'où le rôle important du bureau de contrôle qualité qui vérifie la conformité des fournitures.
Les ateliers d'assemblage.
L'atelier des hautes complications. Chacun des 4 horlogers qualifiés assemble de A à Z une montre (en gros, 500 h de travail).
Le QP tourbillon à répétition-minutes (700 k€).
La sonnerie est particulièrement impressionnante de puissance et de pureté.
La salle à manger au dernier étage.
A gauche, Jean-Yves Di Martino, directeur France. A droite, Marc Guten, directeur marketing international (jusqu'en septembre 2012).
Le CEO, "Charlie" Torres.
La présentation de la collection.
Vraiment très chouette la 1955.
Gros coup de cœur pour cette nouvelle version bleue de l'Overseas chrono.
Première fois que j'accroche vraiment avec une montre tonneau.
Il est temps de laisser notre jet. Le vol suivant avec Ryan Air a été nettement moins cosy.
Retour à la maison avec plein de goodies.
Pour moi, VC est vraiment une très belle maison, mais je trouve que leurs nouveaux modèles, mis à part quelques exceptions, ont tendance à avoir moins en moins de charmes : boitiers épais et massifs, cadrans froids... Sans parler du tarif du chrono sur base Lémania carrément indécent. Bref, la plus belle, c'est ça reste mon American 1921.