Lorsque j'ai commencé à m'intéresser aux chronomètres, certainement influencé par SteveG et son Chronometer Watch Launchpad, puis conforté par l'ouvrage de Fritz von Osterhausen, j'ai trouvé mon bonheur dans une diversité de calibres, de modèles et de marques allant d'Omega à Vacheron Constantin, de Zenith à JLC, en passant par GP. Et je rêvais de Peseux.
Puis, au fil de mes recherches, je me suis intéressé à une marque que j'avais laissée un peu de côté, ce qui est étonnant si l'on considère le rôle essentiel qu'elle a joué dans la démocratisation des chronomètres de poignet - si tant est que l'on puisse parler de démocratisation pour l'horlogerie mécanique suisse.
Je pointais d'ailleurs son positionnement de marque pionnière dans le sujet sur l'année 1951 et le changement de règle afférent aux chronomètres. Vous l'aurez deviné, il s'agit de Rolex.
Le paradoxe de Rolex, c'est qu'en généralisant très tôt la certification Chronomètre à une multitude de modèles, cette caractéristique passe souvent au second plan. A l'exception notable de la Sub 5512, la certification Chronomètre intervient peu dans l'identification d'un modèle. Or, pour avancer dans ma thématique des Chronomètres, je cherchais une Rolex dont le caractère "Chronomètre" s'affirme avant tout autre "désignation" : Prince, Sub, GMT, Daydate, ...
C'est ainsi que j'ai commencé à m'intéresser aux modèles des années 40/50 et en particulier aux modèles des gammes Précision et Perpetual.
Ces montres sont un peu à part dans l'univers Rolex et la documentation est limitée.
Et c'est ainsi un peu par hasard que je suis tombé sur un exemplaire qui fut tout de suite un coup de coeur.
Parmi les raisons : des indexes très particuliers et des cornes plus travaillées qu'à l'habitude.
Dans le sujet de la montre du jour, vous avez été plusieurs à évoquer Vacheron Constantin à partir de la photo suivante.
La comparaison me semble toute à fait justifiée, sachant que la montre est datée du milieu des années 50.
La voici de face.
Avec sa taille classique - le diamètre est de 34mm - et une présence très forte due à ce cadran lumineux et à la boite en or rose, j'ai tout de suite pris du plaisir à la porter.
A 12h, la couronne Rolex fait office de 12ème index. Dessous, on retrouve le nom Rolex, sous-titré par Perpetual, qui fait référence au mouvement automatique, un 1030. A 6h, l'inscription "Officially Certified Chronometer" s'est un peu effacée mais reste visible. Il n'est logiquement pas fait référence à "Oyster", le boitier n'en étant pas un.
J'aime aussi beaucoup les aiguilles dauphine et le contre-poids de la seconde centrale.
Pour revenir au boitier et à ses cornes si particulières, il est de fabrication française. On le retrouve dans quelques publicités d'époque, comme ci-dessous et je pense qu'il n'a été utilisé que sur le marché français.
La couronne - non vissée - est aussi signée.
Cette couronne, que j'aime beaucoup, est en revanche le seul élément visuel qui distingue ma montre d'un document d'époque que j'ai retrouvé pendant mes recherches sur ce modèle.
C'est d'ailleurs ce document, un livret de 4 pages qui était glissé dans le catalogue d'un détaillant Rolex d'Annecy, qui m'a permis de valider cette montre.
Enfin, quand je dis cette montre, je veux dire ces 2 montres, mais c'est une autre histoire !
Puis, au fil de mes recherches, je me suis intéressé à une marque que j'avais laissée un peu de côté, ce qui est étonnant si l'on considère le rôle essentiel qu'elle a joué dans la démocratisation des chronomètres de poignet - si tant est que l'on puisse parler de démocratisation pour l'horlogerie mécanique suisse.
Je pointais d'ailleurs son positionnement de marque pionnière dans le sujet sur l'année 1951 et le changement de règle afférent aux chronomètres. Vous l'aurez deviné, il s'agit de Rolex.
Le paradoxe de Rolex, c'est qu'en généralisant très tôt la certification Chronomètre à une multitude de modèles, cette caractéristique passe souvent au second plan. A l'exception notable de la Sub 5512, la certification Chronomètre intervient peu dans l'identification d'un modèle. Or, pour avancer dans ma thématique des Chronomètres, je cherchais une Rolex dont le caractère "Chronomètre" s'affirme avant tout autre "désignation" : Prince, Sub, GMT, Daydate, ...
C'est ainsi que j'ai commencé à m'intéresser aux modèles des années 40/50 et en particulier aux modèles des gammes Précision et Perpetual.
Ces montres sont un peu à part dans l'univers Rolex et la documentation est limitée.
Et c'est ainsi un peu par hasard que je suis tombé sur un exemplaire qui fut tout de suite un coup de coeur.
Parmi les raisons : des indexes très particuliers et des cornes plus travaillées qu'à l'habitude.
Dans le sujet de la montre du jour, vous avez été plusieurs à évoquer Vacheron Constantin à partir de la photo suivante.
La comparaison me semble toute à fait justifiée, sachant que la montre est datée du milieu des années 50.
La voici de face.
Avec sa taille classique - le diamètre est de 34mm - et une présence très forte due à ce cadran lumineux et à la boite en or rose, j'ai tout de suite pris du plaisir à la porter.
A 12h, la couronne Rolex fait office de 12ème index. Dessous, on retrouve le nom Rolex, sous-titré par Perpetual, qui fait référence au mouvement automatique, un 1030. A 6h, l'inscription "Officially Certified Chronometer" s'est un peu effacée mais reste visible. Il n'est logiquement pas fait référence à "Oyster", le boitier n'en étant pas un.
J'aime aussi beaucoup les aiguilles dauphine et le contre-poids de la seconde centrale.
Pour revenir au boitier et à ses cornes si particulières, il est de fabrication française. On le retrouve dans quelques publicités d'époque, comme ci-dessous et je pense qu'il n'a été utilisé que sur le marché français.
La couronne - non vissée - est aussi signée.
Cette couronne, que j'aime beaucoup, est en revanche le seul élément visuel qui distingue ma montre d'un document d'époque que j'ai retrouvé pendant mes recherches sur ce modèle.
C'est d'ailleurs ce document, un livret de 4 pages qui était glissé dans le catalogue d'un détaillant Rolex d'Annecy, qui m'a permis de valider cette montre.
Enfin, quand je dis cette montre, je veux dire ces 2 montres, mais c'est une autre histoire !