L’amateur de chronographes vintage lorsqu’il débute sa collection est vite confronté à des terminologies telles que Bi-Compax, Tri-Compax, Dato-Compax, … qui vont désigner un chronographe à 2 compteurs, un autre à 3, un dernier pour un chronographe offrant une ou plusieurs indications de date.
Que signifie alors le terme Compax ?
Certains collectionneurs chevronnés pensent que ce terme est dérivé du mot “Compas” qui est défini ainsi : “Un compas est un instrument de construction géométrique qui sert à comparer et à reporter des distances. Le verbe latin compassare signifiait « mesurer avec ses pas».”
Une hypothèse intéressante surtout en associant une échelle tachymétrique à un chronographe, cette échelle outre le fait qu’elle permet la mesure de vitesses permettant aussi celle de distances.
Une chose est sure, c’est Universal qui a la paternité du terme Compax, la manufacture dépose en effet la marque et introduit dès milieu des années 30 une nouvelle gamme de chronographes éponyme.
L’ensemble des chronographes Universal sera ensuite articulé autour du nom Compax créant ainsi le terme générique qui allait fédérer une gamme de chronographes complète et particulièrement cohérente.
Ici, une brochure de 1947 éditée par l'agence Henry Stern permettant de bien comprendre cette gamme fraîchement aboutie.
Il faut dire que la légitimité d’Universal dans les chronographes est forte, 3 dates clés pour illustrer le propos
1894, dépôt de la marque “Universal Watch Extra” qui définit un chronographe avec compteur de 30 mn et poussoir à 6 H,
1917, introduction par Universal du tout premier chronographe bracelet avec poussoir à la couronne,
1934, c’est pour sa première exposition à Bâle qu’Universal présente le Compur, un pionnier du chronographe à 2 poussoirs
C’est en 1936 qu’Universal introduit le Compax qui est présenté comme le tout premier chronographe avec totalisateur d’heures sur un troisième compteur.
Cette réclame de la très sérieuse maison Hermes illustrant le propos et représentant sûrement l'un des tous premiers exemplaires commercialisés.
Un autre, superbe avec son cadran noir
Credit : Douglas Gravina
Quelques années plus tard, 3 autres exemplaires primitifs également mais arborant cette fois un style caractéristique des chronographes Universal, une cohérence stylistique a commencé à se former
Universal distinguera d'abord sa gamme historique à 2 compteurs "Compur" de son innovation à 3 compteurs "Compax"
avant de rebaptiser les Compur quelques temps plus tard en Uni-Compax. Il est intéressant de noter que les Compur et les Uni-Compax sont strictement identiques, ils présentent les mêmes fonctions et sont animés par les mêmes mouvements. Universal livrera néanmoins les 2 séries de manière concomitante pendant encore quelques années semble t il, il faut bien vider les étagères des stocks de cadrans et boites.
Uni-Compax n'est au final qu'un nouveau nom de baptême pour ces chronographes à 2 compteurs, ce nouveau patronyme permet en fait surtout de donner naissance à la formidable gamme de chronographes compliqués d'Universal qui se met alors en ordre de marche avant de donner naissance à l'Aero-Compax, au Dato-Compax et enfin au Tri-Compax en 1944.
Coté mécanique, les Compax sont animés par différents mouvements qui trouvent leur source dans les 2 calibres fondateurs d'Universal
le 281
et le 285
Ces mouvements entièrement conçus et assemblés par Universal sont d'une grande qualité de conception et de fabrication, s'ils ne présentent pas de finitions particulières type anglages, cotes de Genève, ... ils sont réputés comme très précis, ils présentent des finitions alternativement rhodiées ou dorées.
Une des particularités fortes de ces mouvements est leur modularité, modularité qui leur apportera 2 choses :
-plus ou moins de complications par adjonction de leviers et de roues animant ainsi la gamme complète qui verra progressivement le jour,
-modularité dans leur taille permettant une intégration de grande qualité dans des boites dont les diamètres s'étaleront de 30 à 55 mm
comme on peut le constater, les différents diamètres de ces calibres les amènent à être baptisés avec des noms différents, les Compax utilisant essentiellement d'abord les calibres 281, 285, 287 et 292 en fonction des diamètres des boites dans lesquels ils sont destinés à être intégrés.
Des calibres avec les suffixes 3 et 4 (385 et 481 par exemple) apparaîtront ultérieurement avec des épaisseurs supérieures.
Une constante toutefois, la hauteur contenue de ces calibres, 5,5 mm pour le 281 et ses dérivés, 6,05 mm pour le 285 et ses dérivés.
Cette épaisseur contenue pour la plus grande partie de ses calibres est l'un des aspects qui va aussi permettre à Universal d'exprimer l'une de ses caractéristiques les plus fortes, l'élégance.
Petit retour arrière, c'est en 1933 que décède Georges Perret, co-fondateur d'Universal, son fils Raoul lui succède
Raoul Perret va apporter un certain nombre d'optimisations à la manufacture, notamment le regroupement de toutes les activités à Genève
Comme l'indique Pietro Sala dans son ouvrage Universal Watch Geneve, "le génie de Raoul Perret va être d'accorder une très grande attention à l'esthétique de la montre. Il lui confère ainsi une valeur d'accessoire vestimentaire."
Raoul Perret faisait partie de ceux qui avaient compris que les montres bracelet allaient devenir l'accessoire essentiel de l'élégance masculine à une époque où les montres de poche avaient encore la part belle, je me plais à penser qu'il a été un contributeur essentiel à l'un des aspects qui nourrit notre passion.
En 1942 c'est René Perret, frère de Raoul qui rejoint la manufacture
credit : Nicola1960
C'est en particulier sous son impulsion que les ventes à l'Export vont accélérer leur développement.
C'est par exemple la même année que l'agence "Henry Stern Watch Agency" de New-York se voit confier la commercialisation des montres Universal pour l'Amérique.
Cette même agence assurait déjà depuis 1934 la promotion des montres Patek Philippe.
Cette collaboration sera fructueuse, Universal s'imposera rapidement comme une manufacture de référence aux Etats-Unis mais aussi en Amérique du sud où ont peut rappeler la forte présence d'occidentaux depuis les années 30, beaucoup d'entre eux ont un fort pourvoir d'achat et sont avides de ces objets à la fois modernes et techniques.
Sur le plan de la communication, Henry Stern offre une fabuleuse notoriété à la manufacture par le lancement de nombreuses campagnes publicitaires.
L'agence jouera sûrement un rôle prépondérant quand Universal sera sélectionné en 1950 pour équiper la première équipe américaine participant aux 24H du Mans
Universal ayant déjà une légitimité dans le monde du sport automobile comme le montre cette brochure évoquant les Mille Miglia, une des courses automobile les plus célèbre du monde dans cette période des années 30, Universal jouissant d'un succès particulièrement important en Italie
La communication sur les aspects de la supériorité technique de la manufacture n'est pas en reste
Forte de sa gamme de mouvements modulaires permettant un grand nombre de configurations, Universal va décliner ses chronographes dans différents types de boites avec des configurations esthétiques et/ou techniques aux variations quasi infinies.
C'est une autre des caractéristiques majeures des productions de la manufacture.
La série des Compax n'échappe évidemment pas à la règle et, pour réaliser ses modèles en or, Universal va solliciter les habilleurs, ces structures dispersées dans la vallée de Joux et spécialisées dans la fabrication de boites.
Ces habilleurs sont des structures artisanales, presque toujours de petite taille regroupées dans l'Union Suisse pour l'Habillage de la Montre (USH), ils réalisaient les boites sur la base de dessins fournis par la manufacture.
La combinaison de ces 2 facteurs permettra à Universal de proposer une très grande diversité de modèles en or et de satisfaire toute commande spéciale émanant de demandes particulières de ses clients du monde entier. La production de petites séries étant ainsi rendue aisée.
Si le recours à ces habilleurs pour la production des boites en or était courante, Universal a exploité le modèle avec un dynamisme particulier, sûrement du fait de la conception de ses mouvements qui lui apportaient un avantage industriel incontestable.
Cet aspect sera un autre facteur clé du succès mondial d'Universal.
Cette photo pour comprendre une partie de l'étonnante diversité des modèles en or de Compax
Diversité que l'on retrouvera également pour les productions des boites en acier, cette vue représentant 30 ans de Compax acier
Sources :
Universal Watch Geneve - chronographes et montres à complications - Pietro Giuliano Sala - Editeur Vallardi, l'ouvrage de référence sur la manufacture, j'ai posté un certain nombre de scans provenant de ce livre. Nombre des informations historiques utilisées pour la réalisation de cette revue en sont issues.
Universal Genève, 100 ans de tradition horlogère - Italo Bonifacio & Laura Rivolta - Sothis Editrice
Orologi Passioni- la fameux forum italien regorge d'informations passionnantes au sujet d'Universal, je cite en particulier les contributions de Nicola1960 qui sont nombreuses et particulièrement précises et documentées. La sélection des aspects qu'il fallait couvrir et de ceux qu'il fallait négliger pour que cette revue soit abordable n'a pas été simple
Omega Forum - le forum australien focalisé sur la manufacture de Bienne a ouvert quelques sections complémentaires dont l'une couvrant spécifiquement Universal, la section est animée par LouS
WatchUseek - ce forum a longtemps été le port d'attache des amateurs anglophones d'Universal
Antiquorum
Un certain nombre de documents ne sont malheureusement pas crédités, ils sont issus des nombreuses recherches effectuées ici et là et son stockés dans mon disque dur depuis quelques années déjà.
Cette revue a pour objectif de présenter la série des Compax de manière assez exhaustive en plaçant le lecteur dans un contexte plus général (historique, technique, ...). Malgré le soin que j'ai voulu apporter à sa rédaction, des erreurs et/ou des omissions ont pu se glisser si vous en voyez soyez sympa, contribuez !
ON EN PARLE ICI
Que signifie alors le terme Compax ?
Certains collectionneurs chevronnés pensent que ce terme est dérivé du mot “Compas” qui est défini ainsi : “Un compas est un instrument de construction géométrique qui sert à comparer et à reporter des distances. Le verbe latin compassare signifiait « mesurer avec ses pas».”
Une hypothèse intéressante surtout en associant une échelle tachymétrique à un chronographe, cette échelle outre le fait qu’elle permet la mesure de vitesses permettant aussi celle de distances.
Une chose est sure, c’est Universal qui a la paternité du terme Compax, la manufacture dépose en effet la marque et introduit dès milieu des années 30 une nouvelle gamme de chronographes éponyme.
L’ensemble des chronographes Universal sera ensuite articulé autour du nom Compax créant ainsi le terme générique qui allait fédérer une gamme de chronographes complète et particulièrement cohérente.
Ici, une brochure de 1947 éditée par l'agence Henry Stern permettant de bien comprendre cette gamme fraîchement aboutie.
Il faut dire que la légitimité d’Universal dans les chronographes est forte, 3 dates clés pour illustrer le propos
1894, dépôt de la marque “Universal Watch Extra” qui définit un chronographe avec compteur de 30 mn et poussoir à 6 H,
1917, introduction par Universal du tout premier chronographe bracelet avec poussoir à la couronne,
1934, c’est pour sa première exposition à Bâle qu’Universal présente le Compur, un pionnier du chronographe à 2 poussoirs
C’est en 1936 qu’Universal introduit le Compax qui est présenté comme le tout premier chronographe avec totalisateur d’heures sur un troisième compteur.
Cette réclame de la très sérieuse maison Hermes illustrant le propos et représentant sûrement l'un des tous premiers exemplaires commercialisés.
Un autre, superbe avec son cadran noir
Credit : Douglas Gravina
Quelques années plus tard, 3 autres exemplaires primitifs également mais arborant cette fois un style caractéristique des chronographes Universal, une cohérence stylistique a commencé à se former
Universal distinguera d'abord sa gamme historique à 2 compteurs "Compur" de son innovation à 3 compteurs "Compax"
avant de rebaptiser les Compur quelques temps plus tard en Uni-Compax. Il est intéressant de noter que les Compur et les Uni-Compax sont strictement identiques, ils présentent les mêmes fonctions et sont animés par les mêmes mouvements. Universal livrera néanmoins les 2 séries de manière concomitante pendant encore quelques années semble t il, il faut bien vider les étagères des stocks de cadrans et boites.
Uni-Compax n'est au final qu'un nouveau nom de baptême pour ces chronographes à 2 compteurs, ce nouveau patronyme permet en fait surtout de donner naissance à la formidable gamme de chronographes compliqués d'Universal qui se met alors en ordre de marche avant de donner naissance à l'Aero-Compax, au Dato-Compax et enfin au Tri-Compax en 1944.
Coté mécanique, les Compax sont animés par différents mouvements qui trouvent leur source dans les 2 calibres fondateurs d'Universal
le 281
et le 285
Ces mouvements entièrement conçus et assemblés par Universal sont d'une grande qualité de conception et de fabrication, s'ils ne présentent pas de finitions particulières type anglages, cotes de Genève, ... ils sont réputés comme très précis, ils présentent des finitions alternativement rhodiées ou dorées.
Une des particularités fortes de ces mouvements est leur modularité, modularité qui leur apportera 2 choses :
-plus ou moins de complications par adjonction de leviers et de roues animant ainsi la gamme complète qui verra progressivement le jour,
-modularité dans leur taille permettant une intégration de grande qualité dans des boites dont les diamètres s'étaleront de 30 à 55 mm
comme on peut le constater, les différents diamètres de ces calibres les amènent à être baptisés avec des noms différents, les Compax utilisant essentiellement d'abord les calibres 281, 285, 287 et 292 en fonction des diamètres des boites dans lesquels ils sont destinés à être intégrés.
Des calibres avec les suffixes 3 et 4 (385 et 481 par exemple) apparaîtront ultérieurement avec des épaisseurs supérieures.
Une constante toutefois, la hauteur contenue de ces calibres, 5,5 mm pour le 281 et ses dérivés, 6,05 mm pour le 285 et ses dérivés.
Cette épaisseur contenue pour la plus grande partie de ses calibres est l'un des aspects qui va aussi permettre à Universal d'exprimer l'une de ses caractéristiques les plus fortes, l'élégance.
Petit retour arrière, c'est en 1933 que décède Georges Perret, co-fondateur d'Universal, son fils Raoul lui succède
Raoul Perret va apporter un certain nombre d'optimisations à la manufacture, notamment le regroupement de toutes les activités à Genève
Comme l'indique Pietro Sala dans son ouvrage Universal Watch Geneve, "le génie de Raoul Perret va être d'accorder une très grande attention à l'esthétique de la montre. Il lui confère ainsi une valeur d'accessoire vestimentaire."
Raoul Perret faisait partie de ceux qui avaient compris que les montres bracelet allaient devenir l'accessoire essentiel de l'élégance masculine à une époque où les montres de poche avaient encore la part belle, je me plais à penser qu'il a été un contributeur essentiel à l'un des aspects qui nourrit notre passion.
En 1942 c'est René Perret, frère de Raoul qui rejoint la manufacture
credit : Nicola1960
C'est en particulier sous son impulsion que les ventes à l'Export vont accélérer leur développement.
C'est par exemple la même année que l'agence "Henry Stern Watch Agency" de New-York se voit confier la commercialisation des montres Universal pour l'Amérique.
Cette même agence assurait déjà depuis 1934 la promotion des montres Patek Philippe.
Cette collaboration sera fructueuse, Universal s'imposera rapidement comme une manufacture de référence aux Etats-Unis mais aussi en Amérique du sud où ont peut rappeler la forte présence d'occidentaux depuis les années 30, beaucoup d'entre eux ont un fort pourvoir d'achat et sont avides de ces objets à la fois modernes et techniques.
Sur le plan de la communication, Henry Stern offre une fabuleuse notoriété à la manufacture par le lancement de nombreuses campagnes publicitaires.
L'agence jouera sûrement un rôle prépondérant quand Universal sera sélectionné en 1950 pour équiper la première équipe américaine participant aux 24H du Mans
Universal ayant déjà une légitimité dans le monde du sport automobile comme le montre cette brochure évoquant les Mille Miglia, une des courses automobile les plus célèbre du monde dans cette période des années 30, Universal jouissant d'un succès particulièrement important en Italie
La communication sur les aspects de la supériorité technique de la manufacture n'est pas en reste
Forte de sa gamme de mouvements modulaires permettant un grand nombre de configurations, Universal va décliner ses chronographes dans différents types de boites avec des configurations esthétiques et/ou techniques aux variations quasi infinies.
C'est une autre des caractéristiques majeures des productions de la manufacture.
La série des Compax n'échappe évidemment pas à la règle et, pour réaliser ses modèles en or, Universal va solliciter les habilleurs, ces structures dispersées dans la vallée de Joux et spécialisées dans la fabrication de boites.
Ces habilleurs sont des structures artisanales, presque toujours de petite taille regroupées dans l'Union Suisse pour l'Habillage de la Montre (USH), ils réalisaient les boites sur la base de dessins fournis par la manufacture.
La combinaison de ces 2 facteurs permettra à Universal de proposer une très grande diversité de modèles en or et de satisfaire toute commande spéciale émanant de demandes particulières de ses clients du monde entier. La production de petites séries étant ainsi rendue aisée.
Si le recours à ces habilleurs pour la production des boites en or était courante, Universal a exploité le modèle avec un dynamisme particulier, sûrement du fait de la conception de ses mouvements qui lui apportaient un avantage industriel incontestable.
Cet aspect sera un autre facteur clé du succès mondial d'Universal.
Cette photo pour comprendre une partie de l'étonnante diversité des modèles en or de Compax
Diversité que l'on retrouvera également pour les productions des boites en acier, cette vue représentant 30 ans de Compax acier
FIN DE LA 1ERE PARTIE
Sources :
Universal Watch Geneve - chronographes et montres à complications - Pietro Giuliano Sala - Editeur Vallardi, l'ouvrage de référence sur la manufacture, j'ai posté un certain nombre de scans provenant de ce livre. Nombre des informations historiques utilisées pour la réalisation de cette revue en sont issues.
Universal Genève, 100 ans de tradition horlogère - Italo Bonifacio & Laura Rivolta - Sothis Editrice
Orologi Passioni- la fameux forum italien regorge d'informations passionnantes au sujet d'Universal, je cite en particulier les contributions de Nicola1960 qui sont nombreuses et particulièrement précises et documentées. La sélection des aspects qu'il fallait couvrir et de ceux qu'il fallait négliger pour que cette revue soit abordable n'a pas été simple
Omega Forum - le forum australien focalisé sur la manufacture de Bienne a ouvert quelques sections complémentaires dont l'une couvrant spécifiquement Universal, la section est animée par LouS
WatchUseek - ce forum a longtemps été le port d'attache des amateurs anglophones d'Universal
Antiquorum
Un certain nombre de documents ne sont malheureusement pas crédités, ils sont issus des nombreuses recherches effectuées ici et là et son stockés dans mon disque dur depuis quelques années déjà.
Cette revue a pour objectif de présenter la série des Compax de manière assez exhaustive en plaçant le lecteur dans un contexte plus général (historique, technique, ...). Malgré le soin que j'ai voulu apporter à sa rédaction, des erreurs et/ou des omissions ont pu se glisser si vous en voyez soyez sympa, contribuez !
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